La semaine de l’égalité des sexes : l’égalité des sexes – Un projet en chantier

Les femmes et les filles représentent la moitié de la population mondiale, et pourtant, sur le marché du travail, elles gagnent toujours 23 % de moins que les hommes en général.  Si elles gagnent moins d’argent, la société s’attend à ce qu’elles passent trois fois plus de temps que leurs congénères masculins à s’occuper des tâches domestiques et de la prestation de soins, lesquelles ne sont pas rémunérées.

Il ne s’agit là que de l’un des obstacles auxquels les femmes sont confrontées. Parmi ces obstacles, on compte la violence et l’exploitation sexuelles, la discrimination au travail et la violence conjugale.  Dans le monde, presque la moitié des femmes mariées n’ont pas de pouvoir décisionnel sur leurs droits en matière de sexualité et de procréation. Pourtant, l’égalité des sexes est un droit humain fondamental.  Promouvoir ce droit est essentiel en vue de la fondation d’un monde durable, prospère et paisible.  Malheureusement, nous ne sommes pas en voie de concrétiser l’égalité entre les sexes d’ici 2030.

Pour garder le progrès sur le droit chemin, les filles doivent continuer de fréquenter l’école et apprendre à se battre pour leurs droits : le droit à un salaire équitable, à l’accès aux services de santé sexuelle et reproductive, le droit de choisir quand et avec qui elles veulent se marier ainsi que leur propre carrière.  De cette façon, elles gagneront la confiance nécessaire et auront envie de participer aux décisions économiques et politiques qui affectent tant leur vie que leur collectivité.

En tant que femmes, nous devons nous attaquer aux préjugés et aux associations implicites qui sont à l’origine d’obstacles inconscients et souvent invisibles à l’égalité des chances. Quant aux hommes et aux garçons, ils devront devenir nos alliés dans cette lutte pour l’égalité des sexes.  Il faudrait que davantage d’organisations comme HeforShe, qui non seulement, soutiennent le mouvement, mais aussi éduquent et fournissent des occasions ainsi que des espaces pour des discussions importantes, voient le jour.

Les normes sociales discriminatoires et structurelles telles que les agressions sexuelles, la culture du viol, les droits de la personne survivante, l’équité salariale, les standards de beauté et les libertés de reproduction ont obligé une quatrième vague d’activistes à aborder ces sujets. Les campagnes telles que TOUS UNiS pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes, La Marche mondiale des femmes, HeforShe, le Mouvement MeToo et 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le sexe ont eu une énorme répercussion sur les progrès au chapitre de l’égalité des sexes, et ces militant∙e∙s persévérant∙e∙s et courageuses/courageux y sont pour beaucoup.

Si vous souhaitez en savoir davantage sur la lutte pour l’égalité des sexes, sachez qu’il existe de nombreux films de l’Office national du film du Canada à découvrir.

Mireille Jaillet
Représentante nationale de l’équité pour les femmes du SEN

Invitation à participer à l’enquête sur la discrimination raciale et la santé en milieu de travail

Vous êtes invité.e à participer à cette enquête en ligne bilingue (français/anglais) de 15-20 minutes qui porte sur la discrimination raciale en milieu de travail et la santé. Si vous répondez aux critères ci-dessous, cette enquête vous concerne.

Pour participer, vous devez être :

  • Âgé.e entre 25 et 65 ans 
  • Parler français ou anglais 
  • Avoir un emploi ou être au chômage depuis un an ou moins
  • Être Canadien.ne ou vivre au Canada. 

Les Travailleuses et Travailleurs autonomes ne sont pas éligibles.  

L’étude a reçu l’approbation du Comité éthique de la recherche de l’Université d’Ottawa.

Veuillez cliquer ici pour participer :

https://uottawapsy.az1.qualtrics.com/jfe/form/SV_9EvbribSMbLG0tw

Si vous avez des questions ou si vous avez de la difficulté à remplir le questionnaire, veuillez communiquer avec Rose D. Dalexis au rdale075@uottawa.ca

Élection du SEN au poste de vice-président.e national.e de la santé et de la sécurité au travail : Résultats

Yann Boudreau, ancien vice-président régional du SEN pour la région du Québec, a été élu vice-président national pour la santé et la sécurité au travail (SST).

Les principaux objectifs de Yann Boudreau pour ce mandat seront les suivants :

  1. Travailler en collaboration avec l’Exécutif National afin de faire avancer les dossiers du SEN.
  2. Travailler de concert avec le comité de la SST du SEN, afin d’organiser une conférence Santé et Sécurité intéressante et formatrice pour nos membres.
  3. Aider les membres er répondre aux questions qui concernent la SST.
  4. Créer une communauté d’échange et de communication entre les représentants SST de chacune des sections locales.

Bonne fête du travail!

Les membres de l’AFPC et du SEN se sont présentés en masse au rassemblement au centre-ville d’Ottawa. Merci à tous les membres pour votre travail acharné et les services importants que vous fournissez à tous les Canadiens.

Une autre victoire de l’AFPC dans le dossier du télétravail

La Cour fédérale tiendra une audience formelle pour examiner la demande de contrôle judiciaire de l’AFPC visant l’annulation de la décision du gouvernement de contraindre ses fonctionnaires à travailler trois jours par semaine dans des bureaux mal équipés à compter du 9 septembre.  

Il s’agit d’une importante victoire pour les fonctionnaires et leurs syndicats, qui contestent une décision unilatérale porteuse d’importantes répercussions pour eux. Une décision qui a soulevé un tollé, comme en témoigne le dépôt de contestations judiciaires et de milliers de griefs individuels.  

« La décision de la Cour fédérale d’entendre notre affaire représente une réelle avancée dans la lutte des fonctionnaires fédéraux pour une approche équitable et transparente au télétravail », se réjouit Sharon DeSousa, présidente nationale de l’AFPC. « Le télétravail, c’est l’avenir, et ce n’est pas vrai que nous laisserons le gouvernement revenir sur ses engagements et faire la sourde oreille à nos revendications. »   

Le gouvernement a tenté de convaincre la Cour de rejeter l’affaire ou de la suspendre jusqu’à ce que les contestations judiciaires en cours – dont plusieurs griefs de principe et plaintes pour pratiques déloyales de travail – soient entendues par un arbitre fédéral.  

Il a échoué. La Cour fédérale a jugé que le Conseil du Trésor n’avait pas présenté de réel argument justifiant le rejet de notre demande.  

L’audience est une étape décisive de la quête de transparence des syndicats et de leurs membres dans le dossier du retour au bureau trois jours par semaine, car le gouvernement devra rendre publics tous les faits sur lesquels il s’est appuyé pour ordonner ce retour.  

En rendant sa décision, la Cour fédérale ne se range pas nécessairement aux arguments de l’AFPC, mais elle nous permettra de défendre notre cause, de démontrer que le télétravail est gage d’avenir et d’obliger le gouvernement à rendre compte de sa décision mal avisée.  

Ce que les membres peuvent faire 

L’affaire devant la Cour fédérale n’est qu’un exemple de tout ce que fait l’AFPC pour assurer la gestion équitable du télétravail. Vous pouvez participer à cet effort de bien des façons :  

Cet automne, l’AFPC lance une campagne nationale sur le télétravail en collaboration avec d’autres syndicats. La victoire sera à nous si tous les membres, d’un bout à l’autre du pays, se mobilisent et portent la cause dans leurs milieux de travail. Ensemble, on prouvera au gouvernement, aux décideurs et au public que #çatravailleàdistance.  

Déconstruire les mensonges – La sanction royale et l’esclavage au Canada

Par Alisha Kang

Avant que je parle ou que j’écrive, vous pouvez me voir tenir les blagues à tabac que m’ont offertes les Aînés et que je porte autour du cou. Je prie : « Grand Esprit et ancêtres, aidez-moi à toujours chercher et à dire ou écrire la vérité, ou faites qu’un autre porteur de vérité corrige mon ignorance afin que nous puissions tous vivre dans une communauté honnête. »

En tant que femme noire autochtone, dont les ancêtres ont été réduits en esclavage par la sanction royale des Européens, cela signifie…

Que les mains de la monarchie sont tachées du sang de mes ancêtres. Cela signifie que la famille royale a dû approuver la liberté de mes ancêtres. Cela signifie que les Français et les Britanniques ont bénéficié de notre asservissement.

Les siècles d’esclavage sont la raison pour laquelle mes ancêtres africains sont constitués de personnes d’origine nigériane, ghanéenne, libérienne, sierra-léonaise, sénégambienne, guinéenne, congolaise et angolaise – des personnes volées emmenées sur des terres volées. En tant que reproducteurs, les plus forts ont été contraints à en faire plus.

Voici en quoi consistait la sanction royale : tous les enfants de moins de six ans ont été libérés en 1834, mais d’autres ont été retenus pendant quatre à six ans comme apprentis. Les habitants des Caraïbes britanniques ont finalement obtenu leur liberté à minuit le 31 juillet 1838, soit deux ans avant certains se trouvant au Canada. Le Canada aime minimiser sa responsabilité dans l’esclavage.

Cela signifie qu’au Canada, les esclaves auraient pu rester dans cette même condition jusqu’en 1840. L’histoire dépeint ceux qui font du mal comme des héros, même si ce n’est pas tout à fait vrai. Je ne soutiendrai pas leurs histoires fantastiques. Nous ne pouvons pas faire face à la vérité si nous continuons de répéter des mensonges.

Le gouvernement britannique a débloqué vingt millions de livres anglaises (20 000 000 £) pour payer les dommages subis par les propriétaires d’esclaves enregistrés, mais aucune somme n’a été envoyée aux propriétaires d’esclaves en Amérique du Nord britannique.

Pas un seul cent n’a jamais été versé à aucune génération d’ancêtres en dommages et intérêts ou en paiement pour le labeur (travail) des esclaves.

Ainsi, bien que je commémore le Jour de l’émancipation, je comprends aussi que c’est un jour pour marquer le moment où les Canadiens d’origine européenne ont décidé qu’ils ne devaient plus posséder de personnes d’origine autochtone et africaine.

Un jour pour me rappeler de ne jamais exploiter les autres.

Ne jamais me convaincre que la fin justifie les moyens.

Je ne poursuivrai certainement jamais les idéaux mêmes qui ont opprimé mes ancêtres.

Je réaffirme mon engagement à démanteler le système des oppresseurs et à déconstruire leurs mensonges.

Joignez-vous à l’AFPC RCN et au Conseil régional d’Ottawa à l’occasion de la Fête du travail 2024 d’Ottawa !

2 septembre 2024, 9h30 – 16h

233 rue Gilmour, Ottawa

Le Conseil régional Ottawa (CRO) de l’AFPC RCN est heureux d’annoncer sa participation à la marche de la Fête du travail d’Ottawa 2024 ! La marche, organisée par le Conseil du travail du district d’Ottawa (en anglais seulement), aura lieu le lundi 2 septembre de 12 heures et un pique-nique de 12 h 45 à 16 heures.

Le Conseil régional Ottawa (CRO) de l’AFPC RCN est heureux d’annoncer sa participation à la marche de la Fête du travail d’Ottawa 2024 ! La marche, organisée par le Conseil du travail du district d’Ottawa (en anglais seulement), aura lieu le lundi 2 septembre de 12 heures et un pique-nique de 12 h 45 à 16 heures.

Rejoignez-nous afin d’afficher votre solidarité envers tous ceux qui luttent pour rendre la vie de tous les travailleurs et leurs familles plus juste. Après la marche, l’AFPC RCN tiendra également un stand lors du pique-nique qui aura lieu au parc McNabb. 

Vous souhaitez vous joindre à la délégation AFPC RCN? Inscrivez-vous en tant que participant.

Les membres sont encouragés à amener des amis, de la famille ou des membres de la communauté qui souhaitent participer.

Programme de la journée :

9 h 30 – 11 h 30 : La délégation de l’AFPC se réunira au siège social de l’AFPC (233, rue Gilmour). Les membres pourront créer des bannières à l’aide des matériaux fournis. Des rafraîchissements et des collations légères seront disponibles et un camion de crème glacée sera sur place.

11:30 – 12:00 : La délégation de l’AFPC marchera du 233, rue Gilmour jusqu’à l’hôtel de ville d’Ottawa (750 m).

12:00 : La marche débutera à l’hôtel de ville d’Ottawa (côté rue Lisgar). La marche suivra ensuite l’itinéraire suivant (3 km) :

  • Ouest sur la rue Lisgar jusqu’à la rue Elgin
  • Sud sur la rue Elgin jusqu’à l’avenue Gladstone
  • vers l’ouest sur l’avenue Gladstone jusqu’au parc McNabb (à l’angle des rues Bronson et Gladstone).

12:45 : Un pique-nique familial au parc McNabb débutera à l’arrivée de la marche.

Accessibilité

Les participants doivent rester chez eux s’ils ne se sentent pas bien pour une raison ou une autre.

Il y aura des places dans un véhicule qui circulera le long de la marche. Ces places seront disponibles selon le principe du premier arrivé, premier servi. Le véhicule partira du 233 Gilmour pour se rendre à l’hôtel de ville d’Ottawa à 11 heures. Si vous avez des questions à ce sujet ou sur d’autres aspects de l’accessibilité, veuillez envoyer un courriel à oac-cro@psac-afpc.com

Les masques sont encouragés mais ne sont pas obligatoires.

Les participants doivent s’habiller en fonction du temps et apporter de l’eau et de la crème solaire.

Veuillez éviter les produits parfumés tels que le parfum, l’eau de toilette ou la lotion, par considération pour les membres de notre communauté qui souffrent de blessures ou de sensibilités aux produits chimiques.

Les participants sont encouragés à apporter leurs propres chaises.

Le stationnement est disponible comme suit :

  • Le stationnement est gratuit au 233, rue Gilmour à partir de 10 h, selon le principe du premier arrivé, premier servi.
  • Des places de stationnement payantes sont disponibles à l’hôtel de ville d’Ottawa et au parc McNabb.

Les lignes d’OC Transpo sont disponibles comme suit :

  • Routes qui s’arrêtent près du 233 Gilmour : 6, 7, 11, 14
  • Routes qui s’arrêtent près de l’hôtel de ville d’Ottawa : 5, 11, 14, 16, 19
  • Routes qui s’arrêtent près du parc McNabb : 10, 14
  • Pour toute question concernant l’accès au transport en commun vers les lieux de l’événement, veuillez consulter le planificateur de voyage d’OC Transpo ou le site Web de Para Transpo.

Des toilettes publiques sont disponibles aux endroits suivants : 233, rue Gilmour, avant le départ à 11 h 30, Hôtel de ville d’Ottawa et Centre communautaire du parc McNabb.

Une étape importante!

Le 24 août 2024 marque une étape importante : le premier anniversaire de l’élection de deux dirigeantes avant-gardistes au sein de l’AFPC par les consœurs et confrères du Syndicat des employées et employés nationaux (SEN), qui ont ainsi participé à l’histoire. À gauche, nous avons une femme noire autochtone de la communauté 2ELGBTQA+ en situation de handicap, présidente d’un Élément – Alisha Kang (née Campbell).

À droite, Mme Hayley Millington, une femme noire (trinidadienne), vice-présidente exécutive nationale.

L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) ne nous a passé les rênes que le 6 mars 2024, et pourtant, nous sommes déjà au tiers de notre mandat. Nous devons accomplir des réalisations exceptionnelles au cours des deux prochaines années, mais ne désespérons pas. En tant que travailleuses et travailleurs, nous sommes habitué·e·s à ce que les chances soient contre nous et à faire en sorte que l’impossible devienne possible. Ensemble, consœurs et confrères du SEN, nous bâtirons une nouvelle structure qui soutiendra nos membres comme jamais auparavant.

Nous ne devons pas craindre les discussions difficiles qui nous attendent et l’effort collectif qu’il nous faudra déployer pour y parvenir. La seule constante est le changement, et nous vivons une période de grande évolution. J’ai hâte de voir ce que nous allons construire ensemble.

Mise à jour à l’intention de la section locale 30115 : Situation à Jasper

L’annonce de lundi autorisant le retour dans la municipalité de Jasper de milliers de résident·e·s, dont beaucoup sont des membres du SEN qui travaillent au Parc national Jasper, est la première étape d’un long chemin vers la guérison et le rétablissement. Beaucoup parmi eux verront pour la première fois les dommages et la dévastation subis par leur collectivité. Le parc demeure fermé au public, car la phase initiale du retour est réservée aux résidents.

Nos membres qui travaillent et vivent à Jasper savent que le SEN maintient une communication étroite avec l’employeur depuis le début des feux de forêt. Les principaux sujets abordés ont été la sécurité de nos membres et de leur famille, les dispositions prises pour les soutenir pendant leurs déplacements, la communication et la santé mentale. L’employeur a alloué des ressources pour soutenir les personnes touchées par les feux de forêt.

Une liste des questions fréquemment posées a été distribuée. Veuillez communiquer avec les cadres de votre section locale si vous ne l’avez pas reçue. Elle contient de l’information précieuse sur une foule de sujets :

  • Renseignements généraux et soutien financier
  • Soutien du gouvernement de l’Alberta
  • Soutien de la Croix-Rouge et renseignements
  • Questions sur les répercussions pour le personnel de l’Agence Parcs Canada et le logement du personnel
  • Questions sur les déplacements
  • Questions générales sur les ressources humaines
  • Questions sur la paye
  • Questions sur la dotation
  • Questions sur le soutien en matière de santé

Pour le soutien en matière de santé en particulier, les ressources suivantes sont disponibles :

  • La ligne d’écoute téléphonique du Programme d’aide aux employés et à leur famille (PAEF) est accessible en tout temps au 1-800-268-7708 (ou ATS 1-800-567-5803). Les agent·e·s du centre d’appels sont informé e·s de la situation dans le Parc national Jasper et peuvent fournir un soutien immédiat. Dans le cas des employé·e·s qui ne sont pas en situation de crise, le centre d’appels prendra les dispositions nécessaires pour qu’une conseillère ou un conseiller communique avec eux dans les cinq jours ouvrables afin de fixer un rendez-vous gratuit pour une consultation en personne ou virtuelle (jusqu’à 12 heures de consultation par problème). Ils peuvent également prendre rendez-vous par clavardage (mot de passe : canada), du lundi au vendredi, de 10 h à 21 h 30 (heure normale des Rocheuses).
  • Pour celles et ceux qui sont restés à Jasper afin de soutenir les efforts de gestion des incendies en ce moment, sachez qu’il y a deux professionnels de la santé mentale (PSM), qui travaillent en collaboration avec l’équipe du service de Réponse psychosociale et Counselling de Santé Canada, sur place, et avec les responsables du commandement des interventions, pour soutenir les employé·e·s de Parcs Canada. Les employé·e·s qui ne font pas partie des équipes d’incendie et qui veulent rencontrer les PSM ou leur parler doivent communiquer directement avec eux. Les PSM seront en poste par rotation de deux semaines à Hinton et dans les sites voisins jusqu’à la fin de septembre.
  • Un soutien supplémentaire en santé mentale coordonné avec l’équipe de mieux-être de Parcs Canada peut être demandé à tout moment à l’adresse mieuxetre-wellness@pc.gc.ca ou auprès de l’équipe du service de Réponse psychosociale et Counselling de Santé Canada à l’adresse PRECGeneral.CPRPGeneral@hc-sc.gc.ca.

N’hésitez pas à communiquer avec vos équipes régionale et nationale pour nous signaler tout problème concernant votre emploi, si vous avez été déplacé·e·s, afin que nous puissions en parler à l’employeur le plus tôt possible.

Fête nationale de l’Acadie

La Fête de l’Acadie est une célébration depuis la première convention nationale acadienne à Memramcook le 15 août 1881.  Le Gouvernement du Canada a créé une loi en 2003 pour instituer la journée célébrée par le peuple acadien comme une fête nationale.  Cette journée est une réflexion identitaire d’un peuple qui a survécu des épreuves et des persécutions avec détermination et courage. Elle souligne la vitalité culturelle et le patrimoine durable du peuple acadien.

La Fête nationale s’exprime aujourd’hui dans un esprit festif, populaire et artistique. C’est une journée pour commémorer l’histoire et la culture acadienne.  Sur le coup de 17 h 55, des milliers d’Acadiens et Acadiennes des provinces Atlantiques ainsi qu’en Louisiane, aux îles de la Madelaine et en France, sortent lors d’une manifestation bruyante et colorée qu’on appelle un tintamarre qui se fait fortement entendre.  Le tintamarre est un événement pour exprimer la fierté, la vitalité et la joie de vivre de l’Acadie.

Pour celles et ceux qui souhaitent faire l’expérience de la culture acadienne, vous pouvez visiter le Village historique acadien de la Nouvelle-Écosse à Pubnico-Ouest-le-Bas.  Il y a aussi le Village Acadien à Caraquet, et le Pays de la Sagouine à Bouctouche, au Nouveau-Brunswick, pour en nommer quelques-uns.

Le comité des francophones du SEN vous souhaite une bonne Fête nationale de l’Acadie!

Le comité des francophones du SEN