Déposez votre candidature aujourd’hui si vous voulez participer au Colloque régional de l’Atlantique du SEN

Vos régions du SEN vous invitent à participer au Colloque régional de la région de l’Atlantique qui se tiendra au Delta Beauséjour, 750 rue Main, Moncton, NB du 2 au 4 mai 2025.

Cliquez ici pour l’inscription en ligne.

En tant que membre du SEN, votre participation est entièrement financée et vous n’aurez pas un sou à débourser.

Les colloques régionaux, c’est une multitude d’exposés, d’ateliers et de formations qui vous permettront d’acquérir les connaissances et les outils nécessaires pour vous aider, vos membres et vous. C’est aussi l’endroit idéal pour rencontrer d’autres miliant·e·s et tisser des amitiés qui dureront longtemps. 

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Le SEN financera deux (2) participant·e·s, ainsi qu’un·e (1) jeune supplémentaire par section locale. On privilégiera :

  • La présidente ou le président de la section locale, ou sa remplaçante désignée ou son remplaçant désigné
  • Un membre qui n’a jamais encore participé à un Colloque
  • Un·e jeune (âgé·e de 35 ans ou moins au 31 décembre 2026).

Les sections locales doivent aussi encourager la participation des membres des groupes d’équité et peuvent envoyer des membres supplémentaires aux frais de la section locale.

Les délégué·e·s jeunesse au Congrès

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Dans chaque Colloque, les régions éliront deux (2) délégué·e·s jeunesse et membres suppléants qui participeront au Congrès de 2026. Pour être admissibles, les membres jeunesse doivent être âgés de 35 ans ou moins, l’année du Congrès triennal (qui se tiendra en 2026, à Montréal, au Québec.) Le SEN vous encourage à participer, afin que vous ne perdiez pas la chance d’être délégué·e au Congrès triennal.

Les déplacements, l’hébergement et les repas sont payés par le SEN

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Les participant·e·s sont attendu·e·s au lieu d’inscription à 18 h, le vendredi 2 mai 2025.   Des chambres seront réservées à l’hôtel pour les délégué·e·s, soit le vendredi et le samedi, puisque des activités se tiendront en soirée. Le Colloque se termine le dimanche le 4 mai à midi. 

Vos déplacements entre le Colloque et votre domicile sont payés par le SEN. Si vous allez au Colloque en voiture, consignez votre kilométrage et transmettez votre itinéraire sur Google map. Votre séjour à l’hôtel est aussi payé par le SEN, sans frais additionnels pour vous. Vous recevrez aussi une indemnité quotidienne pour les repas qui ne sont pas compris. 

Congé syndical et lettres de congé

Le SEN remboursera le salaire perdu en raison de votre participation au Colloque. Certains employeurs (Conseil du trésor, Parcs Canada) demandent que vous soumettiez une lettre de congé syndical. Le SEN vous encourage à informer votre employeur de votre intention de participer au Colloque dès la réception de ce communiqué. Une fois que la sélection finale sera faite, le SEN enverra les lettres de congé. Votre paie ne sera pas interrompue. (Par exemple, si vous deviez travailler le vendredi, déposez une demande de congé et communiquez à votre superviseur la lettre de congé délivrée par le SEN.)
D’autres employeurs vous demanderont de prendre un congé sans solde. Dans ce cas, le SEN vous remboursera directement le salaire perdu. D’une façon ou d’une autre, nous voulons nous assurer que vous ne manquerez rien et que vos dépenses et votre salaire seront couverts si vous participez à l’événement.

Déposez votre candidature aujourd’hui!

Vous devez déposer votre candidature au plus tard le mardi 15 avril 2025. Les candidatures sont ensuite communiquées à l’équipe régionale aux fins de la sélection finale. Malheureusement, nous n’examinerons pas les candidatures tardives.

Cliquez ici pour l’inscription en ligne.

Si vous avez des questions au sujet du Colloque, veuillez les communiquer à l’adresse courriel suivante events@une-sen.org.

En toute solidarité, 

Votre équipe régionale atlantique du SEN

L’AFPC dépose une plainte pour dénoncer le racisme anti-noir au fédéral

L’AFPC, plus important syndicat fédéral au pays, a déposé une plainte exhaustive auprès de La Commission canadienne des droits de la personne au nom de tous les fonctionnaires noirs qu’elle représente. Cette plainte conteste des décennies de discrimination systémique, de propos racistes, de microagressions et de politiques et pratiques qui ont injustement compromis la carrière de ces travailleuses et travailleurs.  

« Ça fait des décennies que les fonctionnaires fédéraux noirs endurent le racisme, le manque d’avancement et l’hostilité au travail », déplore Sharon DeSousa, présidente nationale de l’AFPC. « Au lieu de corriger le tir, le gouvernement s’est battu devant les tribunaux dans l’espoir d’enterrer leurs revendications. On ne reculera pas avant qu’il soit forcé de rendre des comptes et que nos membres obtiennent justice. »  

Le gouvernement fédéral néglige la lutte contre le racisme anti-noir dans ses milieux de travail depuis longtemps et n’a adopté aucune mesure efficace pour mettre fin :  

  • aux commentaires racistes, aux microagressions et aux comportements discriminatoires; 
  • à la surveillance accrue et aux mesures disciplinaires disproportionnées; 
  • au rejet ou à la minimisation des plaintes de discrimination et de harcèlement; 
  • aux obstacles à l’embauche et à l’avancement; 
  • à l’accès inégal à la formation, au mentorat et au perfectionnement professionnel; 
  • aux mécanismes de dotation empreints de préjugés. 

La plainte du syndicat fait suite au rejet récent du recours collectif intenté par des fonctionnaires fédéraux noirs, un résultat pour lequel le gouvernement fédéral s’est battu bec et ongles, même après avoir admis la présence de racisme anti-noir au travail et dans la société. L’AFPC a fourni du soutien financier et juridique au Recours collectif noir, en plus de demander publiquement au gouvernement de régler l’affaire.  

Le gouvernement fédéral a dépensé plus de 10 millions de dollars en frais juridiques pour prévenir l’autorisation du Recours collectif noir. 

L’AFPC a choisi la voie juridique pour exiger que le gouvernement élimine le racisme anti-noir dans ses milieux de travail et dédommage les membres noirs du syndicat pour les préjudices qu’ils ont subis. L’AFPC revendique des changements de fond aux politiques et pratiques en matière de dotation et d’avancement professionnel, des mesures de responsabilisation plus robustes et la fin des pratiques discriminatoires qui nuisent aux fonctionnaires noirs et à leurs familles depuis des générations.   

« Les travailleuses et travailleurs noirs subissent des torts économiques et psychologiques depuis longtemps », ajoute DeSousa. « Il est temps que le gouvernement admette ses torts et répare un système qui ne fonctionne manifestement pas. »  

L’AFPC est le principal syndicat fédéral du pays et représente plus de 240 000 travailleuses et travailleurs, dont 185 000 à la fonction publique fédérale. À ce titre, elle est bien placée pour repérer et contester les pratiques discriminatoires qui nuisent aux fonctionnaires fédéraux noirs. La plainte qu’elle vient de déposer est l’un des points forts de la lutte pour la justice et reflète la volonté du syndicat de s’attaquer au racisme anti-noir là où il se trouve.

Réunion de l’exécutif national du 24 au 27 mars 2025

L’exécutif national se réunit cette semaine à Québec, au Québec, du 24 au 27 mars. Lundi a été une journée bien remplie de formation sur les AGA des sections locales, les règles de procédure, la Semaine d’action contre le racisme et pour l’égalité des chances, ainsi qu’une visite avec nos membres à la Commission des champs de bataille nationaux organisée par Charles-Olivier Jean de la section locale 10209. Merci beaucoup à nos guides, Louis-Joseph et James !

Dans le rôle de Louis-Joseph De Montcalm : Katia Thibault-Rochefort, représentante aux droits de la personne et à la santé et sécurité de la section locale 10206. Dans le rôle de James Wolfe : Amélie Geoffroy.

Les travaux se sont poursuivis mardi avec la présentation de rapports et des discussions constructives sur l’intégration des membres et les finances locales. L’après-midi, le groupe a été informé des détails de l’année chargée de conférences et de séminaires régionaux du SEN, où les idées sur la formation et les ateliers étaient au cœur des discussions. Enfin, une discussion sur la négociation collective s’est conclue par la bonne nouvelle : les membres de Best Theratronics, en grève depuis mai 2024, ont finalement conclu un accord avec leur employeur.

Journée internationale de la francophonie

Le 20 mars 2025, le comité des francophones du SEN invite les membres du SEN à prendre quelques instants pour souligner leur appartenance à la francophonie dans le cadre de la Journée internationale de la Francophonie, Le comité du SEN souhaite vous rappeler que le français est un outil d’inclusion, d’échange et de coopération syndicale et que travailler en français est un droit et est une condition de travail. 

La protection du français au travail passe par les membres informés sur leurs droits de travailler dans la langue de leur choix et par une sensibilisation collective aux avantages de communiquer en français, notamment en termes d’accès aux droits et de santé-sécurité.

La Journée de la Francophonie est également le moment de célébrer la solidarité qui lie les travailleuses et les travailleurs d’expression française.

 En cette période de négociation des conventions collectives, il est important que le respect des deux langues officielles soit au cœur des négociation afin de conserver notre droit de travailler en français.

 Le comité des francophones du SEN vous souhaite donc une bonne Journée de la Francophonie.

Grève à Best Theratronics : entente de principe conclue!

Après plus de 300 jours de grève, les membres de l’AFPC-SEN à Best Theratronics sont finalement parvenus à une entente avec l’employeur.

En grève depuis mai 2024, ces travailleurs et travailleuses ont tenu bon devant un employeur qui leur a manqué de respect tout au long des négociations.

Le nouveau contrat de travail prévoit notamment des augmentations de salaire de 11,458 % sur quatre ans, une meilleure façon de gérer les demandes de congé, des horaires de travail flexibles et la mise à l’essai d’horaires comprimés. À noter qu’aucune des concessions proposées par l’employeur n’a fait son chemin dans l’entente.

Ces membres ont fait preuve d’une fermeté et d’un courage exemplaires face au manque de respect qu’ils ont essuyé à la table de négociation. L’AFPC a d’ailleurs déposé plusieurs plaintes de pratique déloyale de travail auprès du Conseil canadien des relations industrielles, qui nous a donné raison. Krishnan Suthanthiran, le propriétaire de l’entreprise n’a pas donné à ses représentants l’autorité de négocier en son nom et diffusé de l’information trompeuse pour brouiller les cartes.

L’AFPC a même dû déposer une autre plainte après la conclusion de l’entente parce que Best Theratronics continuait de fournir de l’information erronée sur les négociations.

L’AFPC-RCN et le Syndicat des employées et employés nationaux sont ravis que leurs membres aient enfin décroché une entente satisfaisante qui leur permettra de retourner au travail au cours des prochaines semaines. C’est grâce à leur grande solidarité et à leur détermination que ces travailleuses et travailleurs sont parvenus à leurs fins.

Elles reviennent à la maison…

Par Mireille Jaillet

Rebecca Contois. Mashkode Bizhiki’ikwe.  Marcedes Myran.  Morgan Beatrice Harris.

Prenons un moment pour réfléchir. Accordons à ces femmes un long moment de silence. Une par une, elles ont été retrouvées parmi des déchets. Abandonnées là par un lâche. Un homme faible qui a cru qu’elles étaient des proies faciles, quoiqu’il n’eût pas tout à fait tort. Toutefois, il a sous-estimé la détermination de leur famille, dont la résilience est inscrite dans leur ADN.

Lors de la Journée internationale des femmes, j’ai appris que, le 26 février 2025, les dépouilles de Morgan Harris et de Marcedes Myran (les deux dernières victimes du tueur en série de Winnipeg de 2022) avaient été retrouvées après des mois de recherche et des années de lutte contre les autorités locales et fédérales afin qu’elles enclenchent le processus de fouille.

À l’instant où j’ai lu l’article publié sur le site de nouvelles du Manitoba, intitulé Bulletin no 4 concernant la fouille du dépotoir de Prairie Green, qui confirmait la découverte de corps identifiés comme étant ceux de Morgan Harris et de Marcedes Myren, des larmes me brûlaient les yeux, et mon cœur s’est serré. Non pas parce que je connaissais les femmes en question, mais parce que je connaissais le vide laissé par leur disparition, ainsi que les familles et les communautés endeuillées qui ont été profondément touchées par ces drames. J’avais le cœur brisé en me rappelant à quel point ces familles se sont battues, comment elles ont refusé de baisser les bras, sachant au plus profond d’elles-mêmes qu’elles pouvaient les retrouver et qu’elles le feraient si seulement on leur en donnait l’occasion, et tandis qu’elles se heurtaient à des obstacles, à l’incrédulité et à la condescendance.

Ces familles sont demeurées résilientes, et cette résilience a été récompensée. Mais leur  victoire demeure tragique.

La mission, lancée par le gouvernement du Manitoba à la demande des familles de Morgan Harris et de Marcedes Myran, a été menée conjointement avec l’Assemblée des Chefs du Manitoba avec le soutien du gouvernement fédéral.

« Ils » ont dit que c’était impossible. « Ils » ont dit que ça ne valait pas la peine. « Ils » avaient tort.

Le retour de ces femmes disparues permettra à d’innombrables personnes de guérir. Non seulement les membres des familles qui ont ressenti ces pertes comme une blessure suppurante, mais aussi ceux qui n’ont jamais pu faire leur deuil. Et les femmes qui craignent de subir le même sort. C’est un pas en avant vers la valorisation des êtres humains par rapport au capitalisme. Un pas de plus pour honorer la vie plutôt que l’argent et la bureaucratie. S’il y a une leçon à tirer de cette histoire, c’est que la découverte de ces dépouilles justifie amplement la poursuite des fouilles dans les dépotoirs. Des ressources doivent être fournies afin de soutenir ces fouilles pour que le processus devienne plus facile, moins lourd et que des personnes qualifiées soient amenées à y déployer des efforts significatifs.

En ce qui concerne notre société, j’espère que cet événement permettra de lever les obstacles pour que des fouilles similaires soient menées dans tout le pays. Les FADA (Femmes autochtones disparues et assassinées) doivent être reconnues et valorisées. Toutes ces femmes disparues et assassinées devraient être reconnues et valorisées, recherchées et, espérons-le, retrouvées.

J’aimerais dire aux familles qui se sont battues avec acharnement pour obtenir non seulement justice pour Morgan et Marcedes, mais aussi la paix : nous sommes très fiers et fières de vous, et vous nous inspirez. Puissiez-vous trouver le réconfort et la guérison.

À Marcedes et Morgan : bienvenue chez vous.

Mireille Jaillet est la représentante nationale de l’équité pour les femmes, et est membre du groupe de travail Fouille la décharge.

Joignez-vous à nous pour une assemblée virtuelle

📢 Joignez-vous à nous pour une assemblée virtuelle

🗓 Date : le mercredi 12 mars 2025
⏰ Heure : 19 h. HNE
💻 Présentée par : Alisha Kang, présidente nationale du Syndicat des employées et employés nationaux, APFC

Sujet : Mise à jour de mi-mandat

Joignez-vous à la présidente nationale du SEN, Alisha Kang, et à la vice-présidente exécutive nationale, Hayley Millington, mercredi prochain. Cela fait presque dix-huit mois que le congrès a eu lieu et ce sera l’occasion pour les membres d’entendre les dirigeantes élues parler des progrès réalisés au sein du SEN ainsi que de discuter de la vision pour la deuxième moitié du mandat. .

Votre voix a de l’importance : cette assemblée représente votre chance de vous entretenir avec des dirigeantes, d’avoir un aperçu de la situation et de poser des questions qui ont de l’importance à vos yeux.

Comment participer :

✔️ RSVP ICI ! ou Soumettez vos questions à l’avance à Bernadeth Betchi, coordinatrice, Bureau de la présidente.                                                    

✔️ Écoutez la discussion en direct afin d’entendre les réponses à vos plus grandes préoccupations et participez à la discussion!

Join Zoom Meeting 

https://ca01web.zoom.us/j/66004140119?pwd=IQTKMikk4oAjkTTI1C4aU5MbKUQcFK.1

ID: 660 0414 0119

Passcode : 803683

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Journée internationale des femmes

Par Mireille Jaillet

Nous rêvons d’un monde où nous valorisons et célébrons les différences 
Celles fondées non pas sur le genre, la race, la classe ou les défis   
Mais plutôt sur l’unicité, l’intégrité et les qualités qui caractérisent notre existence
Un monde où les gens peuvent atteindre leur plein potentiel et sont épanouis. 

Le 8 mars, la Journée internationale des femmes aura plus de cent ans.
Encore bien trop d’obstacles et de préjugés qui nous ralentissent demeurent
Tout comme plein de barrages, de défis et d’histoires à raconter, malheureusement. 
Au fil de la lutte, une par une, nous nous débarrasserons de nos chaînes, mes sœurs. 

Dans les pays les plus « démocratiques », les libertés sont étouffées. 
On abat les femmes et crée des orphelins au nom de valeurs et de croyances dépassées,    
Ou on les force à genoux à supplier: il ne faut surtout pas oublier
Ce jour nous appartient à toutes et à tous ceux qui célèbrent les femmes et leurs qualités.

Nous parlons de nos sœurs, de nos tantes, de nos filles, de nos mamans 
De nos tantes, de nos mentores et amies, 
Nous parlons de toutes ces femmes qui importent réellement. 
Nous pouvons briser les barrières, et enfin savourer les merveilles de notre monde… tous unis.

Mireille Jaillet est la représentante nationale de l’équité pour les femmes du SEN

L’AFPC dépose un grief de principe pour freiner les mises à pied à IRCC

L’AFPC a déposé un grief de principe contre le Conseil du Trésor, suivant la violation par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) de l’Appendice sur le réaménagement des effectifs dans la mise en œuvre de son programme de départ volontaire. 

L’AFPC et ses Éléments représentant des fonctionnaires d’IRCC — le Syndicat de l’Emploi et de l’Immigration du Canada, et le Syndicat des employées et employés nationaux — s’inquiètent vivement de la mauvaise gestion des compressions, le ministère ayant décidé d’aller de l’avant avec la suppression de 3 300 emplois

IRCC prétend avoir mis en place un programme de départ volontaire, mais il n’a pas mené les consultations obligatoires. Le ministère a également refusé de fournir des cibles de réduction avant le lancement, enfreignant les conventions collectives. Le syndicat se voit ainsi empêché de veiller à l’application juste des contrats de travail, et les membres, d’obtenir de l’information qui pourrait influencer leur décision de participer ou non. 

Pire encore, IRCC réserve le programme aux personnes dont le poste sera aboli d’ici un an, en excluant celles dont l’emploi sera supprimé dans deux ou trois ans. C’est une atteinte directe à l’Appendice sur le réaménagement des effectifs, qui oblige l’employeur à offrir le programme à toutes les personnes du même groupe, du même niveau et de la même unité d’au moins cinq personnes. 

L’AFPC réclame l’arrêt temporaire du réaménagement des effectifs à IRCC 

Devant ce constat, l’AFPC a déposé un grief demandant la suspension du réaménagement des effectifs jusqu’à ce qu’IRCC fournisse les cibles de réduction requises. Le syndicat exhorte également le ministère à ouvrir le programme de départ volontaire à toutes les personnes touchées, et non seulement à celles qui sont immédiatement visées. 

Le personnel d’IRCC est indispensable pour traiter les programmes d’immigration et de citoyenneté, notamment les demandes de résidence permanente et temporaire, mais aussi pour émettre les passeports et attirer les talents nécessaires au développement économique.  

Nous continuerons de nous battre contre la suppression irréfléchie de ces postes et demanderons des comptes pour le non-respect des conventions collectives. 

Rejoignez la famille du SEN – Là où convergent le service dévoué et la passion

Entrez dans un rôle où chaque effort compte et où chaque contribution est célébrée. Au Syndicat des employées et employés nationaux (SEN), notre communauté diversifiée est alimentée par des membres du personnel engagés et dévoués qui fournissent un service exceptionnel à nos 27 000 membres dans 73 lieux de travail dynamiques. Ensemble, nous défendons les droits des travailleur·e·s, les droits de la personne et la justice sociale avec une passion inébranlable.

Depuis 1967, le SEN est un phare pour l’autonomisation des voix et l’adoption de perspectives uniques dans les secteurs public, privé et à but non lucratif. Nous croyons que notre force réside dans notre diversité et nous favorisons un environnement inclusif où chaque idée est valorisée et où chaque individu peut s’épanouir.

En rejoignant notre équipe, vous bénéficierez :

  • Des congés généreux : Commencez votre voyage avec trois semaines de vacances, plus des congés payés supplémentaires pour favoriser votre bien-être.
  • Des modalités de travail flexibles : Faites l’expérience d’un modèle hybride dynamique avec un minimum de deux jours par semaine au bureau.
  • Des avantages exceptionnels : Vous bénéficiez d’un régime collectif compétitif, comprenant une assurance maladie, une assurance dentaire, une assurance vie et une assurance invalidité, entièrement prises en charge par le SEN.
  • Sécurité financière : Assurez votre avenir grâce à notre régime de pension à prestations définies qui prévoit des cotisations équilibrées (50/50).
  • Croissance continue : Vous bénéficiez d’un soutien important en matière de développement professionnel et d’une allocation de mieux-être de 1 600 $ par année.

Si vous êtes motivé·e par un engagement de service et prêt à contribuer à un héritage de changement positif, le SEN est l’endroit idéal pour vous. Rejoignez-nous et faites partie d’une équipe qui fait une réelle différence dans la vie de 27 000 membres et au-delà.

Découvrez votre prochain chapitre de carrière avec le SEN – où votre passion atteint un objectif !

En savoir plus sur la mission, la vision et les valeurs du SEN.

Opportunités actuelles :

Agent national ou agente nationale des relations de travail
Date de clôture : 7 mars 2025, à 16 heures (HNE)