Le rapport de la commission de l’intérêt public lie le sort des travailleurs de Parcs Canada à celui du groupe PA

Le rapport banal d’une commission de l’intérêt public (CIP) a lié le sort de 5 800 travailleuses et travailleurs de Parcs Canada à celui de la plus importante unité de négociation de l’AFPC.

Ce rapport publié récemment est malheureusement avare de recommandations, se contentant d’établir des liens entre la table de négociation de Parcs Canada et celle du groupe PA de l’AFPC, comme en témoignent les citations tirées directement du rapport de la CIP du groupe PA. La CIP de Parcs Canada soutient que les parties auront de la difficulté à conclure une entente tant qu’elles ne se seront pas entendues à la table des enjeux communs (p. ex., en ce qui concerne le dédommagement pour le fiasco Phénix et les augmentations salariales).

L’AFPC est déçue que la CIP n’ait pas fait de recommandations précises au sujet de ses principales revendications, soit :

  • La parité avec l’administration publique centrale
  • La protection salariale et les mesures correctives liées à Phénix
  • Une augmentation salariale concurrentielle
  • La rémunération équitable des gardes de parc
  • Des mesures pour la conciliation travail-famille, notamment de meilleurs congés parentaux et de maternité
  • Le traitement équitable des travailleurs saisonniers et temporaires.

Cela dit, la CIP reconnaît les difficultés qu’ont eu les travailleurs à obtenir la parité avec l’administration publique centrale depuis que Parcs Canada est devenu un organisme distinct il y a bientôt 20 ans. Elle laisse entendre que c’est la grande question qu’il faudra résoudre si Parcs Canada espère en arriver à une entente avec nos membres.

Prochaines étapes

Chris Aylward, président national de l’AFPC, a autorisé les votes de grève pour Parcs Canada, mais a dû suspendre tous les votes jusqu’au 30 mars. Le syndicat réévaluera alors s’il convient de les reprendre.

L’AFPC poursuivra les pourparlers au nom de toutes les unités actuellement en négociation, malgré la suspension des votes.

Nous mettrons à jour nos sites Web régionaux et national et ferons le point dans les médias sociaux et à l’aide de courriels au fur et à mesure qu’évoluera la situation. Nous encourageons tous nos membres à consulter régulièrement ces ressources et à s’abonner à notre liste de diffusion.

Source : http://syndicatafpc.ca/rapport-commission-linteret-public-lie-sort

AGA reportées

Bonjour,

Le Syndicat des employées et employés nationaux demande à toutes les sections locales du SEN de reporter les assemblées générales annuelles à partir du 17 mars.

Nous demandons en outre de reporter éventuellement les demandes de réunion telles que les AGA, pour au moins le reste du mois de mars 2020.

Le SEN est conscient des inconvénients de la situation, mais nous envisageons des protocoles de santé dans les administrations fédérales, provinciales et territoriales pendant la crise et les interventions liées à la COVID‑19 dans le monde.

Le SEN mettra fréquemment à jour ces renseignements par courriel et sur son site Web et fera le point si les circonstances le justifient.

Respectueusement et en toute solidarité,

 

Kevin A. King
Président national
Syndicat des employées et employés nationaux

Communiqué de presse sur l’état d’urgence en Ontario

Le 17 mars 2020

Ottawa-Plus tôt aujourd’hui, le premier ministre Doug Ford a déclaré l’état d’urgence en Ontario en raison de la pandémie de COVID-19.

Les mesures suivantes s’appliquent dès maintenant :

  • Les événements organisés rassemblant plus de 50 personnes sont interdits, y compris dans les lieux de culte, les centres récréatifs, les salles de concert et les cinemas jusqu’au 31 mars
  • Tous les endroits publics sont fermés, y compris les centres récréatifs, les bibliothèques publiques, les écoles privées, les garderies et tous les restaurants, sauf pour les plats à emporter et les services de livraison
  • Les commerces offrant des services essentiels, comme les pharmacies et les épiceries, ainsi que les transports en commun demeurent ouverts
  • Un fonds d’urgence de 300 millions de dollars sera prévu pour la prise de mesures « immédiates »
  • Vingt-cinq centres supplémentaires de dépistage de la COVID-19 ouvriront dans la province
  • Davantage de fournitures et de services médicaux seront offerts
  • Cinquante médecins seront affectés à la prestation de soins primaires et urgents dans les collectivités autochtones, rurales, éloignées et nordiques

Doug Ford a également demandé une réforme immédiate de l’assurance-emploi, de sorte que toutes les travailleuses et tous les travailleurs puissent y avoir accès.

Le premier ministre ontarien a affirmé que la COVID-19 représentait un « grand danger ». Par conséquent, le SEN demande aux membres qui demeurent en Ontario de suivre de près l’évolution des mesures prises par le gouvernement provincial, en plus de demander à l’ensemble de ses membres de consulter et de respecter les directives du gouvernement fédéral et de leur propre gouvernement provincial ou territorial.

Nous continuons de suivre les directives de l’Agence de la santé publique du Canada et nous adaptons rapidement les protocoles de sécurité que nous appliquons au sein du Syndicat.


Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec Aurélie McDonald, agente de communications et de recherche.
Cellulaire : 613-298-7892 Courriel : aureliemcdonald@une-sen.org

COVID-19: Vos droits au travail

Mis à jour le 15 mars 2020

Veuillez noter que nous demeurons en contact étroit avec l’employeur et les membres et mettons à jour cette page au fur et à mesure qu’évolue la situation.

Qui court le plus grand risque de contracter le virus au travail?

Les travailleuses et travailleurs de première ligne en contact direct avec le public courent le plus grand risque. Il peut s’agir du personnel des aéroports, des services frontaliers et des services d’immigration, des assistants d’enseignement, des employés des bureaux des passeports, du personnel de santé, etc. Toute personne qui se trouve à proximité d’une personne potentiellement infectée peut être exposée au risque de contracter le coronavirus.

Quelles sont les responsabilités de l’employeur et mes droits sur le lieu de travail?

L’ employeur a l’obligation générale de prendre toutes les précautions raisonnables pour protéger leur personnel du danger. Il devrait se doter de protocoles précis et d’un plan détaillé d’intervention en cas de pandémie, notamment fournir de l’équipement de protection individuelle aux employés et les former adéquatement sur la façon de l’utiliser et d’en disposer. L’approche doit être proactive et axée sur la protection du personnel.

L’AFPC enjoint à tous les employeurs de planifier consciencieusement les mesures qu’ils prendront si la COVID-19 gagne du terrain au Canada. Les employeurs doivent aussi fournir la formation et les renseignements nécessaires à tous les membres du personnel.

Les lois en matière de santé et sécurité accordant aux travailleurs le droit de refuser un travail dangereux.

La loi confère aux comités de santé et sécurité le droit de participer à l’élaboration de toutes les stratégies de prévention et de préparation liées à une pandémie.

Pour plus d’information, consultez le site du Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST).

Si vous avez des questions ou des préoccupations au sujet de la santé et de la sécurité au travail, discutez-en avec un membre de votre section locale, un représentant en santé et sécurité de votre lieu de travail ou votre bureau régional.

Quel type de congé puis-je prendre si je suis mis en quarantaine? 

L’employeur a accepté d’offrir à son personnel d’« autres congés payés », comme nous le lui avions demandé, plutôt que de forcer nos membres à prendre des congés de maladie. Voici les consignes du Conseil du Trésor :

Les employés auxquels les responsables de la santé publique ont demandé de s’auto-isoler :  s’ils sont en bonne santé et en mesure de travailler, les employés seront invités à discuter de la possibilité de faire du télétravail avec leurs gestionnaires. Si ce n’est pas possible, les employés se verront accorder un « autre congé payé » (code 699), conformément à leur convention collective.

Si votre convention collective ne prévoit pas d’alternatives au congé de maladie comme mentionné ci-dessus et que votre employeur refuse de vous accorder un congé payé, vous avez le droit de prendre un congé de maladie si vous êtes en quarantaine. Reportez-vous à votre convention collective pour plus de détails.

Si vous n’avez pas de congés de maladie payés ou si vous n’en n’avez plus assez, vous pouvez prendre un congé non payé avec protection de l’emploi. Le Code canadien du travail prévoit jusqu’à 17 semaines de congé de maladie avec protection de l’emploi. De nombreuses provinces prévoient ce type de congé en vertu de leurs lois sur les normes de travail. Vous pouvez demander des prestations d’assurance emploi en cas de maladie si votre employeur ne vous accorde pas de congés de maladie payés. Le gouvernement libéral vient d’annoncer qu’il éliminera la semaine d’attente pour les personnes touchées par la COVID-19 qui demandent des prestations de maladie de l’assurance emploi. Il a aussi annoncé d’autres mesures pour aider les employeurs et les employés. Pour en savoir davantage, visitez le site Le gouvernement du Canada se mobilise contre la COVID‑19.

Si vous contractez le coronavirus au travail, vous aurez peut-être droit aux indemnités pour accident du travail. Des travailleurs et travailleuses de la santé en ont fait la demande durant la flambée de SRAS. Renseignez-vous auprès de la commission des accidents du travail de votre province ou territoire ou parlez-en à un représentant syndical de votre section locale, du bureau régional de l’AFPC ou de votre Élément.

Le syndicat demande aussi aux employeurs de faire preuve de souplesse afin de permettre à leur personnel de prendre des congés, payés ou non, ou de faire du télétravail si c’est possible.

Que puis-je faire si l’école ou la garderie de mes enfants est fermée?

Si vous ne pouvez pas travailler en raison de la fermeture de l’école ou de la garderie de vos enfants, le Conseil du Trésor vous permettra de prendre un « autre congé payé » (code 699).

Le télétravail : puis-je travailler à la maison pour éviter les risques de contagion ou si je suis malade ou en quarantaine?

L’AFPC a exhorté tous les employeurs à autoriser le télétravail dans la mesure du possible et l’employeur s’est maintenant engagé à être « aussi flexible que possible » en ce qui concerne l’approbation du télétravail et d’autres modalités de travail. Toutefois, si vous êtes malade, vous ne devriez pas être obligé de travailler; vous devriez avoir le droit d’être en congé de maladie.

Lorsque le télétravail n’est pas une option, l’employeur doit vous permettre d’être en congé en cas de maladie ou de quarantaine. Il doit aussi prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir la santé et la sécurité au travail, conformément aux lois pertinentes.

Il se pourrait aussi que la COVID-19 soit considérée comme une « invalidité » aux termes des lois sur les droits de la personne. Le cas échéant, les employeurs auraient une obligation d’adaptation jusqu’à la limite de la contrainte excessive. Pour plus d’information, communiquez avec la Commission canadienne des droits de la personne ou avec l’organisme des droits de la personne de votre province ou territoire (si vous ne travaillez pas dans la fonction publique fédérale ou si votre employeur ne relève pas du fédéral).

À quoi ai-je droit si un membre de ma famille est touché par le coronavirus?

De nombreuses conventions collectives prévoient des congés pour obligations familiales. Consultez la vôtre pour déterminer ce à quoi vous avez droit. De plus, le Code canadien du travail et les lois sur les normes de travail de certains territoires et provinces prévoient des congés pour obligations familiales avec protection de l’emploi. Si la maladie s’aggrave, vous pourriez aussi être admissible au congé de compassion en vertu de votre convention collective et au congé de soignant de l’assurance emploi.

Si vous devez prendre soin d’une personne à charge atteinte du virus et que vous avez fait des efforts raisonnables pour vous débrouiller, il se pourrait que l’employeur soit obligé de vous offrir des mesures d’adaptation jusqu’à la limite de la contrainte excessive (p. ex., horaire souple, journée de travail plus courte). Il s’agit ici d’un cas classique d’obligation d’adaptation.

Santé mentale

Veuillez contacter le Programme d’aide aux employés (PAE), accessible en tout temps, ou votre coordonnateur ministériel, ou obtenez des services par l’intermédiaire du Régime de soins de santé de la fonction publique (RSSFP), ou des Services organisationnels spécialisés (SOS), offerts à l’échelle nationale.

Que dois-je faire en cas de discrimination au travail?

Si vous faites l’objet de discrimination parce que :

  • vous êtes en quarantaine à cause d’une maladie ou d’une invalidité réelle ou soupçonnée;
  • vous restez à la maison pour vous soigner ou soigner un membre de votre famille;
  • vous êtes stéréotypé ou harcelé à cause de votre race ou de votre origine ethnique;

ou si vous subissez des mauvais traitements fondés sur un motif de distinction illicite, discutez avec le représentant de votre section locale ou de votre Élément de la possibilité de déposer un grief et/ou une plainte en matière de droits de la personne.

Les membres des communautés asiatiques ici et dans le monde font face au racisme et à la discrimination nourris par les stéréotypes et la fausse information au sujet des groupes qu’on associe au virus. Nous tenons à vous rappeler que la peur ou la confusion engendrée par la pandémie ne doivent en aucun cas engendrer les stéréotypes et les commentaires ou gestes négatifs à l’égard d’une personne à cause de sa race, de son origine ethnique ou de son lieu d’origine. (Consultez la Politique contre le harcèlement et la discrimination et la Déclaration sur le harcèlement de l’AFPC.)

Source: AFPC

COVID-19 : le plan de télétravail du gouvernement laisse à désirer

Président national du SEN, Kevin King :

« Les arrangements de télétravail sont bien en deçà de ce à quoi nous serions en droit de nous attendre en cette période de crise sanitaire provoquée par le COVID 19. Le Conseil du Trésor et les employeurs distincts doivent faire mieux. »

Le gouvernement a annoncé que les fonctionnaires pourront faire du télétravail lorsque c’est possible durant la pandémie de COVID-19. Toutefois, la directive sur le télétravail permet aux ministères et aux gestionnaires de décider eux-mêmes quand et comment autoriser le télétravail, créant ainsi une approche fragmentée qui met nos membres et le public en danger.

L’AFPC a été très claire : quiconque n’a pas besoin d’être au bureau devrait pouvoir travailler à la maison.

Nous exhortons le gouvernement à émettre une politique détaillée sur le télétravail à l’intention de tous les fonctionnaires fédéraux, à moins que le poste ne soit jugé essentiel, afin de limiter la propagation du virus.

Pour mieux protéger la sécurité de tous les travailleurs, en particulier les fonctionnaires de première ligne et les personnes qu’ils servent, nous demandons au gouvernement qu’il prenne les mesures suivantes :

  • Fournir des équipements de protection comme des masques et des gants à tous les travailleurs qui en ont besoin, en particulier au personnel de première ligne comme les agents des services frontaliers, les employés de Service Canada et les travailleurs du secteur postsecondaire.
  • Offrir des jours de congé payé supplémentaires à tous les travailleurs sous réglementation fédérale qui sont malades ou en isolement volontaire afin qu’ils n’aient pas à utiliser leurs congés de maladie.
  • Élaborer et partager un programme de contrôle des infections avec le personnel et les syndicats.
  • Continuer à tenir les syndicats informés de tous les développements liés au COVID-19 au fur et à mesure de leur évolution.

Les membres de l’AFPC ont droit à un milieu de travail sain et sécuritaire. Nous travaillerons étroitement avec les employeurs pour trouver des solutions.

À lire aussi : la pandémie de la COVID-19 et COVID-19 : Vos droits au travail en tant que membres de l’AFPC.

COVID-19 : Suspension des votes de grève et des activités d’envergure de l’AFPC

Votes de grève 

Alors que le nombre de cas de coronavirus signalés augmente au Canada, il est important que l’AFPC prenne les devants pour protéger la santé et la sécurité de ses membres et du public canadien.

Conformément aux recommandations des autorités de santé locales et nationales, le syndicat a pris la difficile décision de reporter toute activité rassemblant un grand nombre de membres.

Les votes de grève seront donc suspendus jusqu’au 30 mars. Le syndicat réévaluera alors s’il convient de continuer de les suspendre. Cette décision concerne les 120 000 membres de l’AFPC qui travaillent à l’Agence du revenu du Canada, à Parcs Canada, ou qui font partie des unités de négociations du Conseille du Trésor. En ce moment critique, la santé de nos membres et de tous les Canadiens passe avant tout.

L’AFPC poursuivra les pourparlers au nom de toutes les unités actuellement en négociation, malgré la suspension des votes.

Pour suivre l’évolution de la COVID-19 (2019-n-CoV) au Canada, consultez le site l’Agence de la santé publique du Canada : Maladie à coronavirus (COVID-19) : Mise à jour sur l’éclosion.

Activités de l’AFPC

D’autres grands rassemblements seront également reportés. C’est le cas notamment de la Conférence nationale des femmes de l’AFPC, qui devait se tenir à Ottawa du 3 au 5 avril.

Advenant le report d’autres activités, le syndicat communiquera directement avec les personnes inscrites et informera les membres des nouvelles dates.

Afin d’assurer la sécurité de nos membres, nous demandons également que les réunions de moindre envergure, comme les réunions des sections locales, les réunions de comités et les activités régionales se déroulent par téléconférence ou vidéoconférence, dans la mesure du possible, ou soient reportées.

Nous mettrons à jour nos sites web régionaux et national et ferons le point dans les médias sociaux et à l’aide de courriels au fur et à mesure qu’évoluera la situation. Nous encourageons tous nos membres à consulter régulièrement ces ressources et à s’abonner à notre liste de diffusion.

Les membres de Parcs Canada passeront au vote de grève avec 100 000 autres membres de l’AFPC

Le 11 mars 2020

Le président national Chris Aylward a autorisé la tenue de votes de grève pour les membres de l’unité de négociation de Parcs Canada. À l’instar des 90 000 membres du Conseil du Trésor, ils participeront aux votes de grèves qui se tiendront du 16 mars au 7 mai. Rappelons que les 27 000 membres travaillant à l’Agence du revenu du Canada ont déjà commencé à voter.

Un solide mandat de grève accordé par nos membres forcera Parcs Canada à revenir à la table de négociation avec un nouveau mandat afin que notre équipe de négo puisse conclure rapidement une entente équitable.

Au cours des prochaines semaines, les membres recevront un avis de vote de grève par courriel et par l’entremise des sections locales et des bureaux régionaux. L’information sera aussi affichée sur la page d’accueil du site Web national et des sites régionaux de l’AFPC.

Source: AFPC

Le point sur les négociations à Granville Island

L’équipe de négociation de la SCHL à Granville Island, composée de Tony Barrow, Sandy Scott, Steven Chen, Verda Cook et Maxime Thibault‑Gingras, a rencontré le patronat du 18 au 20 février, à Vancouver, pour entamer les négociations en vue d’une nouvelle convention collective. La convention collective actuelle arrive à échéance le 31 mars 2020.

L’équipe a présenté une série de propositions non salariales visant à améliorer les conditions de travail, ainsi qu’un nouveau libellé pour la convention collective exigeant que la direction consulte le syndicat pour ce qui est de la sous-traitance de travaux et qu’elle explique les raisons pour lesquelles le recours à l’externalisation de projets spéciaux est préférable à l’embauche ou à la formation du personnel nouvellement embauché.

Le patronat a déposé un nombre important de propositions non salariales, dont maintes propositions d’ordre administratif ne touchaient pas le fond de la convention collective ou qui étaient requises sur le plan juridique.

L’équipe de négociation a accepté plus de 20 propositions du patronat, mais ce dernier n’a accepté aucune des propositions du syndicat.

À la fin de la séance, l’équipe a envoyé un message clair au patronat : lors de la prochaine ronde de négociations prévue en avril, la direction doit se présenter à la table et être prête à aborder les questions salariales, dont une augmentation de salaire équitable.

Environ 60 membres de la section locale 20378 de l’AFPC/du SEN travaillent à Granville Island, où elles/ils accomplissent un large éventail de tâches liées à l’administration, à la maintenance et à la sensibilisation du public.

Forums téléphoniques sur les négos avec le Conseil du Trésor

Des forums téléphoniques auront lieu les 9 et 10 mars avec les membres des groupes PA, SV, TC et EB. Chaque forum durera 30 minutes et portera sur les négociations et les votes de grèves.

Liste des Conférences téléphoniques publiques sur les négociation

9 mars

  • Atlantique (anglais): 18h HAE
  • Ontario (anglais): 19h HAE
  • Prairies-TNO (anglais): 20h HAE

10 mars

  • Atlantique-Québec-RCN-Ontario (français): 19h HAE
  • RCN-Québec-Nunavut (anglais) : 20h HAE
  • CB-Yukon (anglais): 21h HAE

Vous pouvez participer en composant l’un des numéros suivants à la date et à l’heure que vous désirez.

Forums en français : 877-255-5810; Code du forum : 118363

Forums en anglais : 877-229-8493; Code du forum : 112560