Veuillez noter que la prochaine réunion de l’Exécutif national se tiendra du 25 au 28 novembre, 2024 de 9 h à 17 h à l’hôtel Lord Elgin à Ottawa. La première journée commencera par une séance de formation sur la justice sociale du Programme d’apprentissage mixte (AFPC). Dans l’après-midi, les membres entendront le directeur de la représentation des membres et des relations de travail du SEN, Douglas Hill, expliquer comment respecter le devoir de représentation équitable du syndicat.
Conformément à l’article 7 du règlement interne 2, « les sections locales peuvent envoyer, à leurs frais, des observateurs aux réunions de l’Exécutif ».
S’il y a des points que votre section locale voudrait faire inscrire à l’ordre du jour de cette réunion, veuillez les faire parvenir à votre vice-président(e) régional(e) et lui communiquer les renseignements nécessaires pour que la personne puisse présenter ces questions à l’exécutif.
Karsten Heuer était un biologiste, et un défenseur de la faune et de l’environnement, un conteur, un auteur à succès, un époux, un père, un fils et un ami. Il était aussi un membre du SEN à Parcs Canada, et il est décédé le 5 novembre dernier. Nos pensées et nos prières accompagnent la famille et les amis de Karsten, à qui nous souhaitons offrir nos condoléances.
Vous pouvez en apprendre plus sur cet homme extraordinaire en consultant la page Web de l’initiative de conservation de Yellowstone jusqu’au Yukon (Yellowstone to Yukon Conservation Initiative) – https://y2y.net/blog/thank-you-karsten/
L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) est la responsable principale des négociations collectives.
Toutefois, le Syndicat des employées et des employés nationaux (SEN) soutient ce processus de plusieurs façons :
Avant que les négociations débutent, le SEN se charge de recueillir les revendications de ses membres.
C’est l’occasion de vous exprimer et de parler des aspects particuliers à améliorer dans votre convention collective.
Vos équipes de négociation de l’AFPC, qui compte des membres du SEN, négocient avec votre employeur pour que les changements demandés par les membres soient réalisés.
La demande de commentaires est l’occasion de vous faire entendre et de soumettre vos revendications en vue de la prochaine période de négociation.
Le but principal de ce communiqué est d’expliquer ce que vous ou les membres de votre section locale devez faire pour présenter des revendications et participer au processus.
Dates à retenir :
Date limite pour la soumission des revendications sur le portail de l’AFPC – 15 novembre 2024.
Date limite pour l’inscription à la conférence nationale sur la négociation– 13 décembre 2024.
Comment puis-je soumettre mes revendications?
Nous encourageons les sections locales à tenir une réunion avec leurs membres pour discuter de leurs priorités et de leurs propositions de revendications.
Chaque membre a aussi le droit de soumettre des revendications.
Une fois les revendications rédigées et convenues, nous encourageons les membres à les soumettre, ici :
Que se passe-t-il après la soumission de mes revendications?
Le SEN examine toutes les revendications soumises.
Pendant cet examen, le SEN s’assure que les revendications reflètent les besoins et les valeurs du syndicat.
Le SEN apporte également des modifications sommaires et établit une liste des priorités des revendications soumises.
Pour les prochaines périodes de négociations, l’AFPC a établi une limite de 25 revendications par unité de négociation (25 pour l’unité PA, 25 pour l’unité TC, 25 pour l’unité SV et 25 pour l’unité EB).
Toutes les revendications seront évaluées et doivent refléter les intérêts de tous les membres du syndicat.
Comment l’AFPC établit-elle l’ordre de priorité des revendications?
L’AFPC tient une conférence nationale sur la négociation, qui doit se tenir du 19 au 23 février 2025, à l’hôtel Westin de Montréal.
C’est pendant la conférence sur la négociation que les délégué.e.s examinent les revendications, définissent les priorités et planifient les prochaines périodes de négociations.
Comment puis-je m’impliquer?
Les membres de l’équipe de négociation sont élus lors des conférences nationales sur la négociation.
Si vous assistez à la conférence à titre de délégué.e, vous pouvez présenter votre candidature pour faire partie de l’équipe de négociation.
Si vous désirez assister à la conférence, veuillez remplir le questionnaire ci-joint et donner votre nom au SEN.
Les dirigeantes nationales et les dirigeants nationaux du SEN examineront toutes les candidatures et sélectionneront les délégué.e.s à la conférence sur la négociation.
Veuillez noter que, conformément à la politique NG 1 du SEN, au moment de choisir les délégué.e.s qui assisterons à la conférence nationale sur la négociation, la priorité sera accordée aux délégué.e.s des sections locales qui ont soumis des propositions de revendications.
Les places sont limitées! Les délégué.e.s sont sélectionnés de manière à assurer la diversité des situations géographiques, des emplois et des groupes visés par l’équité.
Sam Padayachee Activiste social, fier membre du SEN
La discrimination fondée sur l’apparence est une forme de discrimination sociale subtile, mais très puissante. Elle renvoie au fait de juger les personnes selon que leurs caractéristiques physiques respectent plus ou moins les normes de beauté européennes ou eurocentriques. Même si le concept est peu connu, il affecte profondément les personnes des communautés racialisées, changeant la façon dont elles sont perçues, traitées et évaluées dans diverses sphères de la vie.
Pour bien comprendre la discrimination fondée sur l’apparence, il est essentiel de saisir qu’elle ne tient pas uniquement à la race, mais plutôt aux caractéristiques physiques spécifiques des différents groupes raciaux, qui sont soit appréciées, soit dédaignées. Ces caractéristiques comprennent la couleur de la peau, la texture des cheveux, la forme des yeux, la taille du nez et l’épaisseur des lèvres, entre autres. La discrimination fondée sur l’apparence se manifeste quand les caractéristiques physiques typiquement associées à l’ascendance européenne, comme la peau pâle, les cheveux lisses, les nez petits et les lèvres fines, sont considérées comme plus attrayantes ou acceptables que les caractéristiques qui dévient de ces normes.
Les normes de beauté eurocentriques ont été façonnées par des siècles de colonialisme et de domination culturelle, où les traits européens ont été idéalisés en tant que normes de beauté et de désirabilité. Ces caractéristiques ont été renforcées par les médias, la publicité et l’industrie du divertissement, ce qui les fait passer pour « normales ». Pour les personnes non-racialisées, ces normes de beauté passent souvent inaperçues, car elles reflètent leur propre apparence ou les images qu’elles ont l’habitude de voir.
Cependant, pour les personnes racialisées, particulièrement celles d’origine africaine, asiatique, autochtone ou latine, ces normes peuvent être préjudiciables et peuvent susciter un sentiment d’isolement, surtout si elles vivent dans un pays eurocentrique. La discrimination fondée sur l’apparence s’inscrit en outre dans un système plus large de discrimination fondée sur la race, où les personnes dont les caractéristiques physiques s’éloignent de l’idéal eurocentrique peuvent faire l’objet de préjugés, d’exclusion ou de jugements négatifs.
Les personnes racialisées, particulièrement les femmes, vivent souvent des pressions visant à ce qu’elles modifient leur apparence pour se rapprocher des normes eurocentriques : lisser leurs cheveux naturellement frisés, éclaircir leur peau ou se soumettre à des interventions esthétiques pour modifier des caractéristiques faciales. Ces pressions ne visent pas seulement l’esthétique, elles sont liées à la valeur et aux possibilités que donne la société à une personne. Par exemple, une personne aux caractéristiques physiques « acceptables » sera jugée comme plus belle, plus intelligente ou plus capable, tandis que celle qui possède des caractéristiques physiques non eurocentriques sera peut-être jugée moins attirante, moins compétente, voire moins professionnelle.
La discrimination fondée sur l’apparence influence souvent la façon dont les gens sont traités dans des contextes professionnels. Une personne aux cheveux plus lisses ou à la peau plus pâle aura peut-être tendance à être perçue comme plus « présentable » ou « digne de confiance », alors qu’une autre avec les cheveux plus épais ou la peau plus foncée pourrait être considérée comme « trop ethnique ». Cela, très souvent, peut mener à des inégalités au chapitre de l’embauche et de l’avancement, dans la dynamique du milieu de travail, où les personnes aux caractéristiques physiques eurocentriques sont favorisées, que ce soit consciemment ou non.
Les médias et l’industrie du divertissement contribuent fortement à façonner notre perception de la beauté. Quand des personnes racialisées sont représentées, celles qui ont des caractéristiques physiques eurocentriques hériteront d’un rôle plus intéressant, ce qui renforce une vision étroite de ce qu’est l’attrait. À l’opposé, les personnes aux caractéristiques physiques non eurocentriques héritent de rôles secondaires ou stéréotypés, ce qui marginalise encore plus leur représentation et renforce les normes préjudiciables.
Grandir dans un monde qui privilégie les caractéristiques physiques eurocentriques peut nuire sévèrement à l’estime de soi des personnes racialisées. Pour les enfants et adolescents de couleur, être constamment exposés à des images et des messages donnant à penser que leurs caractéristiques physiques sont « inférieures » peut susciter des sentiments de mal-être, de doute, voire de haine de soi. Avec le temps, cela affecte leur santé mentale et leur sentiment d’appartenance.
Les personnes non-racialisées doivent comprendre que la discrimination fondée sur l’apparence repose sur le fait que les normes de beauté sont des constructions sociales. Ce qui a été normalisé comme étant « beau » est intimement lié aux dynamiques de pouvoir, où certains traits sont plus valorisés que d’autres pour des raisons qui tiennent plus à la domination historique qu’à un quelconque critère esthétique.
Pour contrer la discrimination sur l’apparence, nous devons reconnaître que la beauté a plusieurs formes. Nous devons célébrer la diversité des apparences et rejeter les normes de beauté étroites qui privilégient les caractéristiques physiques eurocentriques. Nous avons tous des préjugés inconscients, et ceux-ci peuvent affecter la façon dont nous percevons les autres. Nous devons réfléchir au fait que nous favorisons peut-être certaines caractéristiques plutôt que d’autres et travailler pour contrer ces préjugés. Par exemple, vous pourriez changer un peu la façon dont vous interagissez avec les gens au bureau ou dans des contextes sociaux ou dont vous complimentez ou commentez l’apparence des gens. Portez attention aux expériences vécues par les personnes racialisées qui parlent de la discrimination fondée sur l’apparence. Écoutez sans être sur la défensive et mettez à profit votre prise de conscience afin de lutter contre les pratiques discriminatoires, que ce soit sur votre lieu de travail, au sein de votre communauté ou dans vos relations personnelles.
La discrimination fondée sur l’apparence n’est peut-être pas autant sujet de discussion que le racisme, mais c’est une forme tout aussi dommageable de discrimination. En la comprenant et en comprenant son incidence sur les personnes racialisées, nous pouvons commencer à déconstruire les normes de beauté dommageables qui perpétuent l’inégalité. Pour les personnes non-racialisées, cela signifie remettre activement en question les normes sociales et appuyer les efforts qui visent à créer un monde où toutes les caractéristiques physiques sont valorisées, et non pas seulement celles qui correspondent à l’idéal eurocentrique.
Dans une société réellement inclusive, la beauté ne devrait pas être définie par un ensemble étroit de normes, mais par la riche diversité qui existe dans l’apparence humaine. En faisant place à la diversité, nous pouvons créer un monde plus équitable et compatissant pour tous.
En janvier 2024, le SEN a entamé des discussions avec l’AFPC concernant la situation difficile de nos commis à la collecte de données (CCD). L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) a déposé un grief de principe le 12 mars 2024 contre le Conseil du Trésor concernant les répercussions du transfert des ancien·ne·s employé·e·s des Opérations des enquêtes statistiques (OES) à l’administration publique fédérale centrale et l’application de la convention collective du groupe des Programmes et services administratifs (PA).
Ce grief, présenté au niveau final par le SEN, de principe a malheureusement été rejeté, et le Conseil du Trésor continue de refuser à nos membres un recours. Nous avons recommandé que le dossier soit renvoyé à l’arbitrage dans notre quête de justice pour les membres du SEN.
Bonjour à tous de la région de la capitale nationale,
Bonjour à tous de la région de la capitale nationale,
Imaginez si :
… notre centre-ville était un lieu plus attrayant pour vivre, travailler et se divertir?
… nos routes étaient moins congestionnées?
…nos quartiers offraient tout ce dont nous avons besoin à distance de marche?
… nous avions plus d’heures dans la journée pour nous occuper des choses qui comptent le plus?
… nous pouvions mettre fin à la crise du logement?
Nous pouvons réaliser tout cela et bien plus encore. Nous lançons une coalition communautaire le 29 octobre autour de l’engagement Réinventer la ville – inscrivez votre organisation à cette coalition dès aujourd’hui !
Le télétravail peut nous aider à transformer non seulement nos lieux de travail et notre façon de travailler, mais aussi les lieux où nous vivons.
Joignez-vous aux membres du mouvement syndical et du secteur communautaire pour assister à un débat de spécialistes et célébrer les possibilités de convertir au mieux les espaces de bureaux d’Ottawa et de transformer notre centre-ville. Ensemble, nous croyons que le télétravail est un moyen formidable de rendre les villes plus efficientes, plus saines et plus dynamiques.
Se réimaginer sa ville grâce au télétravail
Date : mardi le 29 octobre 2024
Heure : Débat de spécialistes de 18 h 30 à 20 h; Soirée dansante avec la DJ Trinidaddy de 20 h à 23 h
Lieu : Galerie d’art d’Ottawa – Salon Alma Duncan
Des rafraîchissements seront offerts.
N’hésitez pas à inviter toute personne de votre famille, de votre entourage ou de votre voisinage qui s’intéresse également à la façon dont le télétravail peut nous aider à transformer non seulement nos lieux de travail et notre façon de travailler, mais aussi les lieux où nous vivons.
O’Siyo ᎣᏏᏲ « o-si-yo » (en cherokee : je vous vois), hello et bonjour consœurs et confrères!
Je suis ravie d’annoncer que Douglas Hill va se joindre à l’équipe du Syndicat des employées et employés nationaux comme directeur, représentation des membres et relations de travail à compter du 1er novembre 2024. J’ai eu l’honneur de le voir en action, représentant les membres avec passion, empathie et expertise juridique. J’ai été témoin d’un homme prêt à se battre contre l’injustice subie par chaque membre lorsque leur convention collective et leurs droits humains étaient violés, avec une détermination sans relâche.
Doug se joint à nous après avoir travaillé pendant plus de 20 ans comme agent aux griefs et à l’arbitrage, à la Direction de la représentation et des services
juridiques de l’AFPC. En plus de ses fonctions principales de médiation et de contentieux, il a prodigué des conseils aux Éléments, guidé plusieurs collègues et animé avec plaisir des séances de formation dans le cadre de diverses conférences.
Doug est fier d’avoir pu régler la plupart des questions litigieuses par la médiation. Il a toutefois plaidé avec succès d’innombrables affaires devant les commissions des relations de travail et les tribunaux des droits de la personne, notamment, l’affaire Grierson-Heffernan c. Agence des services frontaliers du Canada, qui a été présentée dans Public Service & Crown Agency Employment Law de Lancaster. L’affaire Dyson c. Ministère des Pêches et des Océans concernait un renvoi en cours de stage et a été confirmée par la Cour d’appel fédérale. Dans l’affaire Reeves c. Ministère de la Défense nationale, on a octroyé une indemnisation importante pour discrimination raciale. Dans la décision Doro c. Agence du revenu du Canada, on a accordé des dommages-intérêts d’un montant maximal établissant un précédent au titre de la Loi canadienne sur les droits de la personne pour discrimination fondée sur le sexe et harcèlement sexuel, puis l’affaire Nada Bastasic c. Alliance de la Fonction publique du Canada concernait le manquement au devoir de représentation équitable.
La vaste expérience de Doug, ses connaissances et sa compétence reconnue en médiation et en contentieux sur des questions relatives aux griefs et aux droits de la personne font de lui un atout inestimable à ce poste, et nous attendons avec impatience son leadership professionnel pour les membres et le personnel du Syndicat des employées et employés nationaux.
Veuillez vous joindre à moi pour accueillir chaleureusement Doug au sein de l’équipe du SEN.
Alisha Kang Présidente nationale, Syndicat des employées et employés nationaux
Pendant que la municipalité, la province et le gouvernement fédéral se chamaillent sur la façon de gérer les feux, plus de 250 membres du personnel de Parcs Canada sont retournés dans la zone touchée, où il y avait, sur des clôtures, des affiches signalant la présence d’amiante et la découverte possible de toxines, y compris des métaux lourds.
Je suis arrivé à Jasper le matin du 26 septembre avec ma vice-présidente exécutive nationale vers 10 h, heure locale. Deux heures seulement après notre arrivée, la vice-présidente exécutive nationale a été victime d’une grave crise d’asthme.
Nos membres n’ont pas les résultats des tests de particules après le nettoyage, et ils ne savent pas non plus si la qualité de l’air a été testée pour déceler la présence de particules d’amiante ou de métaux lourds.
Bien entendu, la santé et la sécurité de nos membres était la première raison de notre visite à Jasper. Parcs Canada expulse un membre du SEN, dont la demeure est l’une des seules à être restée debout, pour y installer un gestionnaire. Le surintendant de Parcs Canada vit dans une maison de quatre chambres à coucher, seul, à l’abri des feux pendant que les membres doivent s’accommoder d’installations sans cuisine, sans toucher leur allocation quotidienne. Le surintendant n’a pas accordé beaucoup de congés 699 aux pompiers, y compris à ceux qui ont vu un jeune collègue périr dans le feu.
Permettez-moi de vous peindre un tableau fidèle de la vie de nos membres à Jasper. Les membres travaillent, vivent et mangent dans le parc. La plupart de nos membres gagnent moins de 65 000 $ par année. Il est vrai que cela peut sembler raisonnable, mais n’oubliez pas que tout coûte cher, à Jasper, parce que la ville dépend entièrement du tourisme. Le coût de la nourriture, de l’essence et de l’épicerie est souvent cinq fois plus élevé que le coût moyen dans une ville de même taille. Leur employeur leur fournit un logement, comme le faisaient autrefois les entreprises minières, à un coût déraisonnablement élevé en raison de son emplacement ou du fait qu’il est très loin de leur lieu de travail. Ils ne sont pas propriétaires du terrain, et, s’ils ne font pas ce que leur demande leur employeur, ils pourraient se retrouver sans emploi et sans domicile. Vous ne pouvez pas être sans-abri à Jasper, sans quoi on vous embarque dans un autobus et on vous sort de la ville.
Toutefois, je ne peux pas m’empêcher de sonner l’alarme de la sécurité publique. Ce qu’a vécu la vice-présidente exécutive nationale et l’absence de tests en bonne et due forme de détection des toxines et des particules veulent dire que non seulement mes membres, mais aussi tous les gens qui visitent Jasper y sont exposés.
Peu importe si cela découle de la décision de remettre Jasper en état – sans faire le grand nettoyage des produits ignifuges comme à Fort Mac – pour que la vache à lait de la province puisse recevoir à nouveau des touristes. Je ne veux pas, dans une dizaine d’année, apprendre que mes membres et leur famille ont été exposés inutilement à des particules nocives pour des motifs politiques et capitalistes.
Je vous demande d’appuyer nos confrères et consœurs du syndicat en demandant des réponses.
Alisha Kang, Présidente nationale Syndicat des employées et employés nationaux
C’est un moment crucial dans la lutte pour la justice, et nous avons besoin de rester solidaires ! Vous êtes invités à nous rejoindre en personne pour l’audience du tribunal de l’Action collective des Noirs.
Soyez présents. Levez-vous. Faites-vous entendre.
Votre présence est importante, et ensemble, nous pourrons continuer à lutter pour l’égalité et la justice pour les fonctionnaires Noirs et les communautés racisées.
O’Siyo ᎣᏏᏲ « o-si-yo » (en cherokee : je vous vois), hello et bonjour consœurs et confrères!
Je suis ravie d’annoncer que Sylvie Courchaine s’est jointe à l’équipe du SEN le 18 septembre 2024, en tant qu’adjointe exécutive de l’équipe de direction.
Elle se révèle déjà être un excellent ajout à l’organisation et elle va nous aider avec la nouvelle orientation que nous avons établie au cours du présent mandat.
Sylvie Courchaine nous vient de l’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC), où elle a occupé divers postes durant les dix-huit dernières années. Elle a commencé son parcours à l’AFPC en tant que commis comptable à la comptabilité générale, s’occupant de gérer les demandes de remboursement des membres et du personnel, ainsi que les comptes débiteurs et créditeurs. Durant cette période, elle a suivi le cours sur les fondements de la comptabilité générale dans le cadre du programme des comptables généraux agréés de l’Ontario.
Après quatre ans en comptabilité, Sylvie a fait la transition vers la direction des ressources humaines en tant qu’administratrice de la paye et des avantages sociaux, des fonctions qu’elle avait déjà exercées pendant dix-huit ans dans une grande chaîne de vente au détail avant de se joindre à l’AFPC. Son dévouement et son expertise lui ont valu d’être promue au poste de superviseure de la paye, puis à celui de superviseure de la paye et des avantages sociaux, postes qu’elle a occupés pendant plus de neuf ans.
La curiosité et la passion de Sylvie pour l’apprentissage l’ont propulsée vers son rôle le plus récent d’agente, Cotisations et gestion de l’information, qu’elle a occupé depuis octobre dernier. Elle a un vif intérêt pour le travail avec Excel, en particulier l’utilisation de formules avancées, la création de macros et la conception de tableaux croisés dynamiques.
Dans ses temps libres, Sylvie aime bricoler, chanter et passer du temps de qualité avec sa famille.
Veuillez vous joindre à moi pour accueillir chaleureusement Sylvie au sein de l’équipe du SEN.
Thank you, Merci, ᏙᎾᏓᎪᎲᎢ “di-da-yo-li-hv-dv-ga-le-ni-s-gv,” which means “Until we meet again”