J’ai demandé à quelques personnes ce que signifiait à leurs yeux la Journée internationale des droits de l’homme.
Journée internationale des droits de l’homme (INCONSCIENCE)
demandez aux gens ce que ça signifie je me demande ce qu’ils diraient? est-ce qu’ils sauraient, ou comprendraient? que ce n’est qu’un jour parmi tant d’autres?
Inconscients du privilège dont nous jouissons, Papillonnant d’une chose à l’autre avec abandon. Aucun souci duquel s’inquiéter, C’est bien notre impression. Les besoins fondamentaux tous comblés.
Il s’en trouve qui ne savent rien de cela; Eux aussi inconscients du privilège. Tout concentrés sur leurs besoins fondamentaux. Que leur faudra-t-il aujourd’hui? Que devront-ils faire?
Ils ont droit à la vie, Mais leur sécurité est menacée. Ils ont droit à la dignité, Mais obtiennent rarement les nécessités. Trop de leurs droits ne sont qu’utopie, il est futile d’y gaspiller son énergie. Ils se concentrent sur les nécessités, Ce à quoi se réduit leur vie.
les droits de la personne que sont-ils? tous y ont-ils droit? sont-ils offerts? sont-ils octroyés? est-ce quelque chose qu’on peut accorder? Alors en vertu de quel pouvoir sont-ils si souvent refusés, À tant de gens dérobés?
non, je pose la question, vraiment. que sont-ils? j’aimerais le savoir, vraiment.
Michael Freeman Vice-président national aux droits de la personne du SEN
L’AFPC du Canada lance une campagne nationale pour exhorter le gouvernement Trudeau à respecter les travailleuses et travailleurs et à ne pas toucher aux pensions.
En décidant de détourner 9,3 milliards de dollars du surplus de la Caisse de retraite de la fonction publique, le gouvernement libéral trahit les fonctionnaires fédéraux et met en danger la sécurité de la retraite de millions d’autres travailleuses et travailleurs.
« C’est un abus de confiance » s’insurge Sharon DeSousa, présidente nationale de l’AFPC. « Le personnel et l’employeur ont contribué à parts égales au fonds de pension. Pourquoi le gouvernement serait-il le seul à profiter d’un congé de cotisation? »
Cette décision irréfléchie menace la sécurité de la retraite de plus de 700 000 fonctionnaires fédéraux et territoriaux, actifs et retraités.
Sans parler qu’elle établit un dangereux précédent pour des millions d’autres personnes au pays, puisque d’autres employeurs des secteurs privé et public pourraient être tentés de faire pareil. Ce n’est donc pas seulement le combat des fonctionnaires, mais celui de tous ceux et celles qui aspirent à la justice, à la responsabilisation du gouvernement et à la sécurité de la retraite.
« Si le gouvernement fédéral – le plus grand employeur au pays – pige dans les pensions des fonctionnaires, qu’est-ce qui empêchera d’autres employeurs d’en faire autant? », demande Mme DeSousa.
Il n’est pas trop tard : le gouvernement libéral peut encore revenir sur sa décision. L’AFPC propose d’ailleurs trois solutions raisonnables pour réduire le surplus tout en protégeant les pensions.
Abolir le régime à deux paliers : Du temps où il était au pouvoir, Stephen Harper a décidé que les fonctionnaires embauchés à compter du 1er janvier 2013 devraient travailler cinq ans de plus que leurs prédécesseurs pour avoir droit à la pleine retraite. Il faut corriger cette injustice.
Assurer l’équité pour les travailleuses et travailleurs de première ligne : Le gouvernement doit offrir des options de retraite équitables à ceux et celles qui veillent à la sécurité publique et à l’application de la loi, comme il l’a promis.
Suspendre les cotisations du personnel : Les fonctionnaires ont eux aussi cotisé à la caisse de retraite. Ils devraient donc obtenir le même congé de cotisation que l’employeur.
« Ce n’est pas seulement une question de pensions. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités et faire ce qui est juste pour les personnes qui servent la population jour après jour », explique Mme DeSousa.
Visitez le site NonAuVolDePensions.ca pour en savoir plus et protéger l’avenir des travailleuses et des travailleurs.
Le 6 décembre 1989, 14 jeunes femmes de Polytechnique Montréal ont été massacrées dans un acte de misogynie violente. En 1991, le Parlement a institué ce jour de deuil (le 6 décembre) comme Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes, connue familièrement sous le nom de Journée du ruban blanc.
En ce jour, nous nous souvenons et prenons un moment pour honorer celles qui ont perdu la vie à cause de la violence fondée sur le genre :
Geneviève Bergeron
Hélène Colgan
Nathalie Croteau
Barbara Daigneault
Anne-Marie Edward
Maud Haviernick
Maryse Laganière
Maryse Leclair
Anne-Marie Lemay
Sonia Pelletier
Michèle Richard
Annie St-Arneault
Annie Turcotte
Barbara Klucznik-Widajewicz
La violence sexiste reste répandue dans le monde entier. Le dernier rapport de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime et d’ONU Femmes montre que le féminicide est en hausse dans le monde entier. Ce type de violence touche de manière disproportionnée les personnes soumises à de multiples formes d’oppression. Par exemple, les femmes autochtones sont six fois plus à risque d’être assassinées que les femmes non autochtones.
Il reste encore beaucoup à faire pour prévenir la violence envers les femmes, arrêter son escalade, fournir des services adéquats aux survivantes et punir les auteurs de tels actes.
Ce que vous pouvez faire :
Portez un ruban blanc
Observez une minute de silence à 11 h
Assistez à une veillée dans votre collectivité
Partagez une publication sur la Journée nationale de commémoration
Participez aux 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le genre (du 25 novembre au 10 décembre) et utilisez le mot-clic #16Jours
Mettre fin à l’impunité en tenant les auteurs d’actes de violence responsables et en établissant une tolérance zéro à l’égard de la violence contre les femmes et les filles
Adopter, mettre en œuvre et financer des plans d’action nationaux pour mettre fin à la violence contre les femmes et les filles
Investir dans les organisations de prévention et de défense des droits des femmes pour garantir les droits et l’accès aux services essentiels des survivantes
Apprenez-en plus au sujet de la violence fondée sur le genre :
Assister à un événement dans votre collectivité pour montrer votre soutien aux victimes et aux survivantes
Envisager de faire un don à un refuge local
C’est une journée de réflexion sur la violence faite aux femmes dans notre société. C’est une journée au cours de laquelle les communautés et les gens peuvent se rassembler, s’exprimer et agir pour éliminer toutes les formes de violence contre les femmes et les filles. Nous devons rester engagé×e×s en faveur d’un avenir sans violence contre les femmes.
Mireille Jaillet Représentante nationale de l’équité pour les femmes du SEN
La Journée internationale des personnes en situation de handicap (JIPH), fêtée annuellement le 3 décembre, est un puissant rappel à célébrer les réalisations et les contributions des personnes en situation de handicap. Proclamée en 1992 par l’Assemblée générale des Nations Unies, cette journée souligne également les défis persistants avec lesquels ces personnes composent. « Amplifier le leadership des personnes handicapées pour un avenir inclusif et durable », soit le thème de 2024, met l’accent sur une vérité absolue : les personnes en situation de handicap ne sont pas de simples participantes dans la lutte pour l’inclusivité; ce sont elles qui mènent la lutte. Les expériences qu’elles ont vécues, leur perspective, et leur détermination sont des éléments fondamentaux pour façonner des lieux de travail, des communautés, et des systèmes qui conviennent à tout le monde, de façon équitable.
Le militantisme syndical, un moteur de changement. En tant que dirigeant syndical et militant, je vois quotidiennement la façon dont les barrières systémiques inhibent les personnes en situation de handicap dans le lieu de travail, au Canada. En dépit de lois comme la Loi canadienne sur l’accessibilité, bon nombre de travailleurs peinent à avoir accès à des chances égales et à un traitement équitable. Les syndicats sont particulièrement bien positionnés pour combattre ces inégalités et lutter pour un avenir où l’inclusion des personnes en situation de handicap fait partie intégrante de chaque aspect du lieu de travail.
Les syndicats jouent un rôle critique dans le démantèlement de ces obstacles. Le rôle du militantisme syndical va au-delà de plaider pour l’accessibilité. Il consiste également à exiger le changement systémique, à favoriser l’équité, et à créer des lieux de travail propices aux débouchés gratifiants pour que les personnes en situation de handicap puissent diriger et s’épanouir. Ensemble, nous luttons solidairement contre l’exclusion et nous bâtissons une culture d’inclusion et de justice.
Faire tomber les barrières au Canada. Si le Canada a fait des progrès dans la promotion de l’accessibilité, des écarts majeurs subsistent : (i) le taux d’emploi des personnes en situation de handicap traîne derrière les moyennes nationales; (ii) bon nombre de lieux de travail ne sont pas entièrement accessibles, ce qui contribue à perpétuer l’exclusion; (iii) les rôles de direction dans les secteurs privé et public incluent rarement les personnes en situation de handicap, ce qui prive les organismes de perspectives diverses et d’idées innovatrices. Ces défis persistent non pas en raison d’un manque de solutions, mais plutôt en raison d’une absence de volonté de mettre ces solutions en pratique. Cela doit changer.
Helen Keller, une militante des droits des personnes en situation de handicap a un jour dit : « Tout seuls, nous ne pouvons accomplir que très peu; ensemble, nous pouvons accomplir tellement de choses. »
Ses mots trouvent véritablement un écho dans le mouvement syndical, mettant ainsi l’accent sur le pouvoir de l’action collective afin de créer un changement important. De la même façon, Swami Vivekananda, un philosophe indien, nous rappelle la force intérieure : « Tous les pouvoirs sont en vous; vous pouvez absolument tout réaliser. Croyez en cela et ne croyez pas que vous êtes faible. »
Ces citations nous inspirent à reconnaître la résilience et le potentiel des personnes en situation de handicap, et à nous unir en tant qu’alliés pour défendre leur leadership et leurs droits.
Selon moi, le leadership va au-delà d’occuper des postes de pouvoir; il est question d’influencer le changement et de façonner les politiques qui reflètent les expériences vécues des personnes qui sont touchées par ces politiques. Pour concrétiser cette vision, nous devons : (i) habiliter le leadership en appuyant les personnes en situation de handicap dans des rôles de leadership au sein de syndicats, de lieux de travail, et de collectivités afin de garantir que leur perspective façonne l’avenir; (ii) exiger des comptes en préconisant l’adoption de politiques et de pratiques qui vont au-delà de la conformité, et qui mettent plutôt l’accent sur l’équité, la dignité, et la participation gratifiante; et (iii) favoriser la collaboration en travaillant de concert —syndicats, employeurs, décideurs, et collectivités — pour lutter contre les barrières systémiques et créer des espaces véritablement inclusifs.
Alors que nous soulignons la JIPH 2024, j’invite les membres de syndicats, les alliés et l’ensemble des Canadiens à réfléchir sur le rôle qu’ils jouent dans la création d’une société véritablement inclusive. Reconnaissons le potentiel de leadership des personnes en situation de handicap, célébrons leurs contributions, et travaillons collectivement pour abattre les barrières systémiques.
Le rôle des syndicats a toujours été de favoriser le pouvoir collectif et la justice. En cette JIPH, renouvelons notre engagement envers un avenir où chaque individu, quelles que soient ses capacités, peut diriger, contribuer, et s’épanouir. Ensemble, nous pouvons bâtir un Canada qui valorise chaque voix, accepte véritablement l’inclusion, et ne laisse personne derrière.
Prabir Roy est le représentant national de l’équité pour les personnes handicapées du SEN.
Une femme est tuée toutes les dix minutes, quelle honte! C’est la réalité de notre monde, qui blâmer au bout du compte? La violence faite aux femmes et aux filles partout s’accroît Trop d’entre elles sont muettes, réduites au silence, cachant leur désarroi.
Le 25 novembre – Une journée à commémorer et à se remémorer Trois sœurs Mirabal assassinées par un dictateur abhorré. Comme tant d’autres, elles ne jouissaient d’aucune protection. Aucune protection pour les filles forcées à subir une excision.
Ou même pour celles violentées par leur partenaire intime. Comme si elles n’ont aucune valeur, qu’elles ne font jamais rien de légitime. La violence et le harcèlement sexuels sont un problème omniprésent. Comme la traite de personnes, un foutu cauchemar effrayant.
Que dire de toute cette violence innommable. Sinon qu’elle est tout simplement impardonnable. Comment pouvons-nous lutter contre la violence faite aux femmes et aux filles? En leur offrant partout un meilleur accès à plus qu’une éducation de pacotille.
Nous pouvons fournir des fonds, donner à ces femmes accès à du capital Leur permettre de s’émanciper et de sortir de ce périple létal. Les faire participer à la prise de décisions, leur offrir une place à la table Mobiliser nos alliés pour les soutenir et rendre tout obstacle surmontable
Il faut parler haut et fort, tendre la main, agir et faire ce qu’il faut d’ailleurs Pour qu’ensemble nous bâtissions un monde bien plus juste et meilleur.
Mireille Jaillet est la représentante nationale du SEN de l’équité pour les femmes
La Journée du souvenir trans est le 20 novembre 2024. C’est une tradition annuelle qui a été créée en 1999 par la militante transgenre Gwendolyn Ann Smith. Il s’agit d’une veillée ayant pour but d’honorer le souvenir des personnes transgenres perdues aux mains de la violence transphobe. Cette veillée annuelle a été instaurée à la suite du meurtre de Rita Hester, une femme transgenre noire assassinée en 1998.
« La Journée du souvenir trans a pour but de souligner les pertes que nous avons subies en raison de l’intolérance et de la violence transphobes. Je sais ce que c’est de devoir lutter pour nos droits, d’abord et avant tout le droit d’exister, tout simplement. Devant ceux et celles qui cherchent à effacer les personnes trans – parfois de la manière la plus brutale imaginable –, il est d’une importance vitale de se souvenir de ceux et celles que nous avons perdu∙e∙s et de continuer notre lutte pour la justice. »
– Gwendolyn Ann Smith, fondatrice de la Journée du souvenir trans
Avec la montée de la haine anti-trans et l’augmentation du nombre de mesures législatives transphobes qui sont adoptées, il est important d’être là pour nos ami∙e∙s, notre famille, nos collègues et nos compatriotes qui font partie de la communauté 2ELGBTQ+. S’il vous plaît, prenez le temps de trouver à un événement de la Journée du souvenir trans dans votre communauté le 20 novembre et d’y assister. Votre solidarité et votre soutien sont nécessaires.
Vous pouvez également souligner la Journée du souvenir trans en faisant ce qui suit :
Assister à des événements : Assistez à des rassemblements locaux pour la Journée du souvenir trans, à des veillées à la chandelle et à des mémoriaux. C’est une manière d’être solidaire avec la communauté transgenre, de se souvenir de ceux et celles que nous avons perdu∙e∙s. Prenez part aux événements locaux de la Fierté pendant toute l’année !
Partager des témoignages de personnes transgenres : Que ce soit un témoignage personnel ou une histoire qui vous a touché∙e, partagez des expériences qui mettent en lumière les difficultés subies par les personnes transgenres et la raison pour laquelle l’acceptation est réellement essentielle.
Soutenir des organisations transgenres : Si vous êtes en mesure de le faire, venez en aide aux groupes fournissant des services essentiels comme des soins de santé, un soutien en santé mentale et la défense des droits des personnes transgenres. Chaque contribution compte.
S’exprimer en faveur du changement : Défendez des politiques qui protègent les personnes transgenres contre la discrimination et qui promeuvent la sécurité et l’inclusion.
Exalter les voix transgenres : Utilisez vos réseaux sociaux ou toute autre plateforme pour amplifier les voix des militant∙e∙s et défenseur∙e∙s des droits transgenres. La diffusion de leur travail et de leurs perspectives peut réellement avoir un impact.
Apprendre et s’éduquer : Continuez à vous instruire sur les questions et termes transgenres et sur la manière dont nous pouvons respecter et soutenir l’identité de genre d’autrui et encourager les autres à faire de même.
Danielle Palmer est la représentante nationale du SEN de l’équité pour les personnes 2SLGBTQ+.
Groupe EB (Enseignement et bibliothéconomie) : 30 juin 2025
Groupe SV (Services de l’exploitation) : 4 août 2025
L’AFPC tiendra une conférence sur la négociation pour les membres de ces groupes du 19 au 23 février 2025 à Montréal.
La conférence a pour but de prioriser les questions qui seront négociées avec l’employeur. Les personnes déléguées y éliront également leurs équipes de négo respectives.
Il est essentiel que tous les groupes d’équité aient leur mot à dire. C’est pourquoi on encourage les membres autochtones, racisés, 2SLGBTQIA+ et ayant un handicap, les femmes et les jeunes (35 ans ou moins) à participer à la conférence.
Pour être admissible, vous devez être membre du groupe PA, TC, SV ou EB, occuper une charge au sein de votre section locale et avoir milité pour des causes syndicales.
Veuillez noter que la prochaine réunion de l’Exécutif national se tiendra du 25 au 28 novembre, 2024 de 9 h à 17 h à l’hôtel Lord Elgin à Ottawa. La première journée commencera par une séance de formation sur la justice sociale du Programme d’apprentissage mixte (AFPC). Dans l’après-midi, les membres entendront le directeur de la représentation des membres et des relations de travail du SEN, Douglas Hill, expliquer comment respecter le devoir de représentation équitable du syndicat.
Conformément à l’article 7 du règlement interne 2, « les sections locales peuvent envoyer, à leurs frais, des observateurs aux réunions de l’Exécutif ».
S’il y a des points que votre section locale voudrait faire inscrire à l’ordre du jour de cette réunion, veuillez les faire parvenir à votre vice-président(e) régional(e) et lui communiquer les renseignements nécessaires pour que la personne puisse présenter ces questions à l’exécutif.
Karsten Heuer était un biologiste, et un défenseur de la faune et de l’environnement, un conteur, un auteur à succès, un époux, un père, un fils et un ami. Il était aussi un membre du SEN à Parcs Canada, et il est décédé le 5 novembre dernier. Nos pensées et nos prières accompagnent la famille et les amis de Karsten, à qui nous souhaitons offrir nos condoléances.
Vous pouvez en apprendre plus sur cet homme extraordinaire en consultant la page Web de l’initiative de conservation de Yellowstone jusqu’au Yukon (Yellowstone to Yukon Conservation Initiative) – https://y2y.net/blog/thank-you-karsten/
L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) est la responsable principale des négociations collectives.
Toutefois, le Syndicat des employées et des employés nationaux (SEN) soutient ce processus de plusieurs façons :
Avant que les négociations débutent, le SEN se charge de recueillir les revendications de ses membres.
C’est l’occasion de vous exprimer et de parler des aspects particuliers à améliorer dans votre convention collective.
Vos équipes de négociation de l’AFPC, qui compte des membres du SEN, négocient avec votre employeur pour que les changements demandés par les membres soient réalisés.
La demande de commentaires est l’occasion de vous faire entendre et de soumettre vos revendications en vue de la prochaine période de négociation.
Le but principal de ce communiqué est d’expliquer ce que vous ou les membres de votre section locale devez faire pour présenter des revendications et participer au processus.
Dates à retenir :
Date limite pour la soumission des revendications sur le portail de l’AFPC – 15 novembre 2024.
Date limite pour l’inscription à la conférence nationale sur la négociation– 13 décembre 2024.
Comment puis-je soumettre mes revendications?
Nous encourageons les sections locales à tenir une réunion avec leurs membres pour discuter de leurs priorités et de leurs propositions de revendications.
Chaque membre a aussi le droit de soumettre des revendications.
Une fois les revendications rédigées et convenues, nous encourageons les membres à les soumettre, ici :
Que se passe-t-il après la soumission de mes revendications?
Le SEN examine toutes les revendications soumises.
Pendant cet examen, le SEN s’assure que les revendications reflètent les besoins et les valeurs du syndicat.
Le SEN apporte également des modifications sommaires et établit une liste des priorités des revendications soumises.
Pour les prochaines périodes de négociations, l’AFPC a établi une limite de 25 revendications par unité de négociation (25 pour l’unité PA, 25 pour l’unité TC, 25 pour l’unité SV et 25 pour l’unité EB).
Toutes les revendications seront évaluées et doivent refléter les intérêts de tous les membres du syndicat.
Comment l’AFPC établit-elle l’ordre de priorité des revendications?
L’AFPC tient une conférence nationale sur la négociation, qui doit se tenir du 19 au 23 février 2025, à l’hôtel Westin de Montréal.
C’est pendant la conférence sur la négociation que les délégué.e.s examinent les revendications, définissent les priorités et planifient les prochaines périodes de négociations.
Comment puis-je m’impliquer?
Les membres de l’équipe de négociation sont élus lors des conférences nationales sur la négociation.
Si vous assistez à la conférence à titre de délégué.e, vous pouvez présenter votre candidature pour faire partie de l’équipe de négociation.
Si vous désirez assister à la conférence, veuillez remplir le questionnaire ci-joint et donner votre nom au SEN.
Les dirigeantes nationales et les dirigeants nationaux du SEN examineront toutes les candidatures et sélectionneront les délégué.e.s à la conférence sur la négociation.
Veuillez noter que, conformément à la politique NG 1 du SEN, au moment de choisir les délégué.e.s qui assisterons à la conférence nationale sur la négociation, la priorité sera accordée aux délégué.e.s des sections locales qui ont soumis des propositions de revendications.
Les places sont limitées! Les délégué.e.s sont sélectionnés de manière à assurer la diversité des situations géographiques, des emplois et des groupes visés par l’équité.