L’AFPC a préparé un guide à l’intention du personnel de Parcs Canada qui explique les protections et les droits prévus en cas de réaménagement des effectifs, notamment en ce qui concerne la mise en disponibilité. Il a été conçu pour vous éclairer sur le processus et répondre à vos questions afin de vous aider à prendre de bonnes décisions.
Le guide explique les processus qui gouvernent le réaménagement des effectifs à l’Agence Parcs Canada. Il décrit :
les obligations de l’employeur et les responsabilités du personnel en vertu de l’Appendice sur le réaménagement des effectifs;
les différents scénarios possibles, dont la mise en disponibilité, la réinstallation et la diversification des modes d’exécution;
les options qui s’offrent aux personnes touchées, comme la garantie d’offre d’emploi raisonnable, les programmes de départ volontaire et l’échange de postes.
Vivre un réaménagement des effectifs pourrait être l’une des expériences les plus stressantes de votre carrière. Le guide vous fournit l’information nécessaire pour relever le défi et explique les protections que l’AFPC a négociées pour vous.
Si vous avez besoin d’information ou d’aide, n’hésitez pas à contacter votre section locale, le bureau régional de l’AFPC ou votre Élément, le syndicat des employées et employés nationaux.
L’exécutif national se réunit cette semaine à Québec, au Québec, du 24 au 27 mars. Lundi a été une journée bien remplie de formation sur les AGA des sections locales, les règles de procédure, la Semaine d’action contre le racisme et pour l’égalité des chances, ainsi qu’une visite avec nos membres à la Commission des champs de bataille nationaux organisée par Charles-Olivier Jean de la section locale 10209. Merci beaucoup à nos guides, Louis-Joseph et James !
Dans le rôle de Louis-Joseph De Montcalm : Katia Thibault-Rochefort, représentante aux droits de la personne et à la santé et sécurité de la section locale 10206. Dans le rôle de James Wolfe : Amélie Geoffroy.
Les travaux se sont poursuivis mardi avec la présentation de rapports et des discussions constructives sur l’intégration des membres et les finances locales. L’après-midi, le groupe a été informé des détails de l’année chargée de conférences et de séminaires régionaux du SEN, où les idées sur la formation et les ateliers étaient au cœur des discussions. Enfin, une discussion sur la négociation collective s’est conclue par la bonne nouvelle : les membres de Best Theratronics, en grève depuis mai 2024, ont finalement conclu un accord avec leur employeur.
Après plus de 300 jours de grève, les membres de l’AFPC-SEN à Best Theratronics sont finalement parvenus à une entente avec l’employeur.
En grève depuis mai 2024, ces travailleurs et travailleuses ont tenu bon devant un employeur qui leur a manqué de respect tout au long des négociations.
Le nouveau contrat de travail prévoit notamment des augmentations de salaire de 11,458 % sur quatre ans, une meilleure façon de gérer les demandes de congé, des horaires de travail flexibles et la mise à l’essai d’horaires comprimés. À noter qu’aucune des concessions proposées par l’employeur n’a fait son chemin dans l’entente.
Ces membres ont fait preuve d’une fermeté et d’un courage exemplaires face au manque de respect qu’ils ont essuyé à la table de négociation. L’AFPC a d’ailleurs déposé plusieurs plaintes de pratique déloyale de travail auprès du Conseil canadien des relations industrielles, qui nous a donné raison. Krishnan Suthanthiran, le propriétaire de l’entreprise n’a pas donné à ses représentants l’autorité de négocier en son nom et diffusé de l’information trompeuse pour brouiller les cartes.
L’AFPC a même dû déposer une autre plainte après la conclusion de l’entente parce que Best Theratronics continuait de fournir de l’information erronée sur les négociations.
L’AFPC-RCN et le Syndicat des employées et employés nationaux sont ravis que leurs membres aient enfin décroché une entente satisfaisante qui leur permettra de retourner au travail au cours des prochaines semaines. C’est grâce à leur grande solidarité et à leur détermination que ces travailleuses et travailleurs sont parvenus à leurs fins.
Rebecca Contois. Mashkode Bizhiki’ikwe. Marcedes Myran. Morgan Beatrice Harris.
Prenons un moment pour réfléchir. Accordons à ces femmes un long moment de silence. Une par une, elles ont été retrouvées parmi des déchets. Abandonnées là par un lâche. Un homme faible qui a cru qu’elles étaient des proies faciles, quoiqu’il n’eût pas tout à fait tort. Toutefois, il a sous-estimé la détermination de leur famille, dont la résilience est inscrite dans leur ADN.
Lors de la Journée internationale des femmes, j’ai appris que, le 26 février 2025, les dépouilles de Morgan Harris et de Marcedes Myran (les deux dernières victimes du tueur en série de Winnipeg de 2022) avaient été retrouvées après des mois de recherche et des années de lutte contre les autorités locales et fédérales afin qu’elles enclenchent le processus de fouille.
À l’instant où j’ai lu l’article publié sur le site de nouvelles du Manitoba, intitulé Bulletin no 4 concernant la fouille du dépotoir de Prairie Green, qui confirmait la découverte de corps identifiés comme étant ceux de Morgan Harris et de Marcedes Myren, des larmes me brûlaient les yeux, et mon cœur s’est serré. Non pas parce que je connaissais les femmes en question, mais parce que je connaissais le vide laissé par leur disparition, ainsi que les familles et les communautés endeuillées qui ont été profondément touchées par ces drames. J’avais le cœur brisé en me rappelant à quel point ces familles se sont battues, comment elles ont refusé de baisser les bras, sachant au plus profond d’elles-mêmes qu’elles pouvaient les retrouver et qu’elles le feraient si seulement on leur en donnait l’occasion, et tandis qu’elles se heurtaient à des obstacles, à l’incrédulité et à la condescendance.
Ces familles sont demeurées résilientes, et cette résilience a été récompensée. Mais leur victoire demeure tragique.
La mission, lancée par le gouvernement du Manitoba à la demande des familles de Morgan Harris et de Marcedes Myran, a été menée conjointement avec l’Assemblée des Chefs du Manitoba avec le soutien du gouvernement fédéral.
« Ils » ont dit que c’était impossible. « Ils » ont dit que ça ne valait pas la peine. « Ils » avaient tort.
Le retour de ces femmes disparues permettra à d’innombrables personnes de guérir. Non seulement les membres des familles qui ont ressenti ces pertes comme une blessure suppurante, mais aussi ceux qui n’ont jamais pu faire leur deuil. Et les femmes qui craignent de subir le même sort. C’est un pas en avant vers la valorisation des êtres humains par rapport au capitalisme. Un pas de plus pour honorer la vie plutôt que l’argent et la bureaucratie. S’il y a une leçon à tirer de cette histoire, c’est que la découverte de ces dépouilles justifie amplement la poursuite des fouilles dans les dépotoirs. Des ressources doivent être fournies afin de soutenir ces fouilles pour que le processus devienne plus facile, moins lourd et que des personnes qualifiées soient amenées à y déployer des efforts significatifs.
En ce qui concerne notre société, j’espère que cet événement permettra de lever les obstacles pour que des fouilles similaires soient menées dans tout le pays. Les FADA (Femmes autochtones disparues et assassinées) doivent être reconnues et valorisées. Toutes ces femmes disparues et assassinées devraient être reconnues et valorisées, recherchées et, espérons-le, retrouvées.
J’aimerais dire aux familles qui se sont battues avec acharnement pour obtenir non seulement justice pour Morgan et Marcedes, mais aussi la paix : nous sommes très fiers et fières de vous, et vous nous inspirez. Puissiez-vous trouver le réconfort et la guérison.
À Marcedes et Morgan : bienvenue chez vous.
Mireille Jaillet est la représentante nationale de l’équité pour les femmes, et est membre du groupe de travail Fouille la décharge.
📢 Joignez-vous à nous pour une assemblée virtuelle
🗓 Date : le mercredi 12 mars 2025 ⏰ Heure : 19 h. HNE 💻 Présentée par : Alisha Kang, présidente nationale du Syndicat des employées et employés nationaux, APFC
Sujet : Mise à jour de mi-mandat
Joignez-vous à la présidente nationale du SEN, Alisha Kang, et à la vice-présidente exécutive nationale, Hayley Millington, mercredi prochain. Cela fait presque dix-huit mois que le congrès a eu lieu et ce sera l’occasion pour les membres d’entendre les dirigeantes élues parler des progrès réalisés au sein du SEN ainsi que de discuter de la vision pour la deuxième moitié du mandat. .
Votre voix a de l’importance : cette assemblée représente votre chance de vous entretenir avec des dirigeantes, d’avoir un aperçu de la situation et de poser des questions qui ont de l’importance à vos yeux.
Comment participer :
✔️ RSVP ICI ! ou Soumettez vos questions à l’avance à Bernadeth Betchi, coordinatrice, Bureau de la présidente.
✔️ Écoutez la discussion en direct afin d’entendre les réponses à vos plus grandes préoccupations et participez à la discussion!
Nous rêvons d’un monde où nous valorisons et célébrons les différences Celles fondées non pas sur le genre, la race, la classe ou les défis Mais plutôt sur l’unicité, l’intégrité et les qualités qui caractérisent notre existence Un monde où les gens peuvent atteindre leur plein potentiel et sont épanouis.
Le 8 mars, la Journée internationale des femmes aura plus de cent ans. Encore bien trop d’obstacles et de préjugés qui nous ralentissent demeurent Tout comme plein de barrages, de défis et d’histoires à raconter, malheureusement. Au fil de la lutte, une par une, nous nous débarrasserons de nos chaînes, mes sœurs.
Dans les pays les plus « démocratiques », les libertés sont étouffées. On abat les femmes et crée des orphelins au nom de valeurs et de croyances dépassées, Ou on les force à genoux à supplier: il ne faut surtout pas oublier Ce jour nous appartient à toutes et à tous ceux qui célèbrent les femmes et leurs qualités.
Nous parlons de nos sœurs, de nos tantes, de nos filles, de nos mamans De nos tantes, de nos mentores et amies, Nous parlons de toutes ces femmes qui importent réellement. Nous pouvons briser les barrières, et enfin savourer les merveilles de notre monde… tous unis.
Mireille Jaillet est la représentante nationale de l’équité pour les femmes du SEN
L’AFPC a déposé un grief de principe contre le Conseil du Trésor, suivant la violation par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) de l’Appendice sur le réaménagement des effectifs dans la mise en œuvre de son programme de départ volontaire.
L’AFPC et ses Éléments représentant des fonctionnaires d’IRCC — le Syndicat de l’Emploi et de l’Immigration du Canada, et le Syndicat des employées et employés nationaux — s’inquiètent vivement de la mauvaise gestion des compressions, le ministère ayant décidé d’aller de l’avant avec la suppression de 3 300 emplois.
IRCC prétend avoir mis en place un programme de départ volontaire, mais il n’a pas mené les consultations obligatoires. Le ministère a également refusé de fournir des cibles de réduction avant le lancement, enfreignant les conventions collectives. Le syndicat se voit ainsi empêché de veiller à l’application juste des contrats de travail, et les membres, d’obtenir de l’information qui pourrait influencer leur décision de participer ou non.
Pire encore, IRCC réserve le programme aux personnes dont le poste sera aboli d’ici un an, en excluant celles dont l’emploi sera supprimé dans deux ou trois ans. C’est une atteinte directe à l’Appendice sur le réaménagement des effectifs, qui oblige l’employeur à offrir le programme à toutes les personnes du même groupe, du même niveau et de la même unité d’au moins cinq personnes.
L’AFPC réclame l’arrêt temporaire du réaménagement des effectifs à IRCC
Devant ce constat, l’AFPC a déposé un grief demandant la suspension du réaménagement des effectifs jusqu’à ce qu’IRCC fournisse les cibles de réduction requises. Le syndicat exhorte également le ministère à ouvrir le programme de départ volontaire à toutes les personnes touchées, et non seulement à celles qui sont immédiatement visées.
Le personnel d’IRCC est indispensable pour traiter les programmes d’immigration et de citoyenneté, notamment les demandes de résidence permanente et temporaire, mais aussi pour émettre les passeports et attirer les talents nécessaires au développement économique.
Nous continuerons de nous battre contre la suppression irréfléchie de ces postes et demanderons des comptes pour le non-respect des conventions collectives.
Entrez dans un rôle où chaque effort compte et où chaque contribution est célébrée. Au Syndicat des employées et employés nationaux (SEN), notre communauté diversifiée est alimentée par des membres du personnel engagés et dévoués qui fournissent un service exceptionnel à nos 27 000 membres dans 73 lieux de travail dynamiques. Ensemble, nous défendons les droits des travailleur·e·s, les droits de la personne et la justice sociale avec une passion inébranlable.
Depuis 1967, le SEN est un phare pour l’autonomisation des voix et l’adoption de perspectives uniques dans les secteurs public, privé et à but non lucratif. Nous croyons que notre force réside dans notre diversité et nous favorisons un environnement inclusif où chaque idée est valorisée et où chaque individu peut s’épanouir.
En rejoignant notre équipe, vous bénéficierez :
Des congés généreux : Commencez votre voyage avec trois semaines de vacances, plus des congés payés supplémentaires pour favoriser votre bien-être.
Des modalités de travail flexibles : Faites l’expérience d’un modèle hybride dynamique avec un minimum de deux jours par semaine au bureau.
Des avantages exceptionnels : Vous bénéficiez d’un régime collectif compétitif, comprenant une assurance maladie, une assurance dentaire, une assurance vie et une assurance invalidité, entièrement prises en charge par le SEN.
Sécurité financière : Assurez votre avenir grâce à notre régime de pension à prestations définies qui prévoit des cotisations équilibrées (50/50).
Croissance continue : Vous bénéficiez d’un soutien important en matière de développement professionnel et d’une allocation de mieux-être de 1 600 $ par année.
Si vous êtes motivé·e par un engagement de service et prêt à contribuer à un héritage de changement positif, le SEN est l’endroit idéal pour vous. Rejoignez-nous et faites partie d’une équipe qui fait une réelle différence dans la vie de 27 000 membres et au-delà.
Découvrez votre prochain chapitre de carrière avec le SEN – où votre passion atteint un objectif !
📢 Joignez-vous à nous pour une conversation sur la célébration des femmes au sein du syndicat.
🗓 Date : le mardi 4 mars 2025 ⏰ Heure : 14-15 h. HNE 💻 Présentée par : Alisha Kang, présidente nationale du Syndicat des employées et employés nationaux, APFC
Sujet : Mois de l’histoire des femmes – une conversation sur la célébration des femmes au sein du syndicat.
Alors que nous lançons le mois de l’histoire des femmes en mars, la présidente nationale du SEN, Alisha Kang, et la vice-présidente régionale de l’Ontario, Phyllis Allen, auront une conversation sur la célébration des femmes au sein du syndicat.
Votre voix a de l’importance : cette assemblée représente votre chance de vous entretenir avec des dirigeants, d’avoir un aperçu de la situation et de poser des questions qui ont de l’importance à vos yeux.
Comment participer :
✔️ RSVP ICI ! ou Soumettez vos questions à l’avance à Bernadeth Betchi, coordinatrice, Bureau de la présidente.
O’Siyo ᎣᏏᏲ “o-si-yo » (en cherokee : je vous vois), bonjour et hello, consœurs et confrères du syndicat,
Les dirigeant·e·s élu·e·s du Syndicat des employées et employés nationaux (SEN) aimeraient remercier les représentantes et représentants des sections locales et des régions du SEN qui ont pris le temps de représenter un membre du SEN durant la procédure de traitement des griefs.
Quand vous représentez un membre dans le cadre de la procédure de traitement des griefs, faites preuve de diligence dans votre devoir de le représenter équitablement, et sachez que vous ne devez jamais agir de façon arbitraire ou discriminatoire ou avec mauvaise foi.
Le fait qu’un·e représentant·e croie ou non un membre ne devrait jamais avoir d’incidence sur la qualité de la représentation que nous lui offrons, puisque les membres fautifs ont eux aussi le droit d’être représentés de la meilleure façon qui soit.
Pour éviter tout malentendu ou toute confusion, à l’avenir, tous les griefs de licenciement seront automatiquement renvoyés au bon palier (c.-à-d. au dernier palier) de la procédure de traitement des griefs dans les délais prescrits par la convention collective.
Les Agentes et agentes des relations du travail au Canada du SEN évalueront le bien-fondé au dernier palier et décideront s’il convient ou non de renvoyer le grief en arbitrage.
Nous vous remercions de votre coopération et de votre collaboration continues en ce qui concerne les griefs de licenciement et tous les griefs.
Merci, thank you, ᏙᎾᏓᎪᎲᎢ « di-da-yo-li-hv-dv-ga-le-ni-s-gv », ce qui veut dire « à la prochaine ».