O’Siyo ᎣᏏᏲ “o-si-yo”, (Cherokee : je vous vois) Bonjour membres de la famille syndicale,
Alors que l’année tire à sa fin, je tiens à vous remercier sincèrement pour votre confiance et votre soutien. C’est un honneur de me tenir à vos côtés, de défendre vos droits et de renforcer notre voix collective.
Cette période est propice à la réflexion, et je songe à tout le chemin parcouru par notre mouvement syndical – et à tout le travail qu’il reste à accomplir. Ensemble, nous avons fait de grandes avancées, mais la route continue. J’invite chacune et chacun d’entre nous à réfléchir à notre contribution individuelle pour bâtir un monde meilleur, où chacun peut s’épanouir.
En tant que collectif, continuons de guérir, de lutter pour la justice et de viser plus haut dans l’année à venir.
Du fond du cœur, je vous souhaite de joyeuses fêtes et une bonne et heureuse année.
En toute solidarité,
Alisha Kang Présidente nationale Syndicat des employées et employés nationaux
J’ai demandé à quelques personnes ce que signifiait à leurs yeux la Journée internationale des droits de l’homme.
Journée internationale des droits de l’homme (INCONSCIENCE)
demandez aux gens ce que ça signifie je me demande ce qu’ils diraient? est-ce qu’ils sauraient, ou comprendraient? que ce n’est qu’un jour parmi tant d’autres?
Inconscients du privilège dont nous jouissons, Papillonnant d’une chose à l’autre avec abandon. Aucun souci duquel s’inquiéter, C’est bien notre impression. Les besoins fondamentaux tous comblés.
Il s’en trouve qui ne savent rien de cela; Eux aussi inconscients du privilège. Tout concentrés sur leurs besoins fondamentaux. Que leur faudra-t-il aujourd’hui? Que devront-ils faire?
Ils ont droit à la vie, Mais leur sécurité est menacée. Ils ont droit à la dignité, Mais obtiennent rarement les nécessités. Trop de leurs droits ne sont qu’utopie, il est futile d’y gaspiller son énergie. Ils se concentrent sur les nécessités, Ce à quoi se réduit leur vie.
les droits de la personne que sont-ils? tous y ont-ils droit? sont-ils offerts? sont-ils octroyés? est-ce quelque chose qu’on peut accorder? Alors en vertu de quel pouvoir sont-ils si souvent refusés, À tant de gens dérobés?
non, je pose la question, vraiment. que sont-ils? j’aimerais le savoir, vraiment.
Michael Freeman Vice-président national aux droits de la personne du SEN
Le 6 décembre 1989, 14 jeunes femmes de Polytechnique Montréal ont été massacrées dans un acte de misogynie violente. En 1991, le Parlement a institué ce jour de deuil (le 6 décembre) comme Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes, connue familièrement sous le nom de Journée du ruban blanc.
En ce jour, nous nous souvenons et prenons un moment pour honorer celles qui ont perdu la vie à cause de la violence fondée sur le genre :
Geneviève Bergeron
Hélène Colgan
Nathalie Croteau
Barbara Daigneault
Anne-Marie Edward
Maud Haviernick
Maryse Laganière
Maryse Leclair
Anne-Marie Lemay
Sonia Pelletier
Michèle Richard
Annie St-Arneault
Annie Turcotte
Barbara Klucznik-Widajewicz
La violence sexiste reste répandue dans le monde entier. Le dernier rapport de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime et d’ONU Femmes montre que le féminicide est en hausse dans le monde entier. Ce type de violence touche de manière disproportionnée les personnes soumises à de multiples formes d’oppression. Par exemple, les femmes autochtones sont six fois plus à risque d’être assassinées que les femmes non autochtones.
Il reste encore beaucoup à faire pour prévenir la violence envers les femmes, arrêter son escalade, fournir des services adéquats aux survivantes et punir les auteurs de tels actes.
Ce que vous pouvez faire :
Portez un ruban blanc
Observez une minute de silence à 11 h
Assistez à une veillée dans votre collectivité
Partagez une publication sur la Journée nationale de commémoration
Participez aux 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le genre (du 25 novembre au 10 décembre) et utilisez le mot-clic #16Jours
Mettre fin à l’impunité en tenant les auteurs d’actes de violence responsables et en établissant une tolérance zéro à l’égard de la violence contre les femmes et les filles
Adopter, mettre en œuvre et financer des plans d’action nationaux pour mettre fin à la violence contre les femmes et les filles
Investir dans les organisations de prévention et de défense des droits des femmes pour garantir les droits et l’accès aux services essentiels des survivantes
Apprenez-en plus au sujet de la violence fondée sur le genre :
Assister à un événement dans votre collectivité pour montrer votre soutien aux victimes et aux survivantes
Envisager de faire un don à un refuge local
C’est une journée de réflexion sur la violence faite aux femmes dans notre société. C’est une journée au cours de laquelle les communautés et les gens peuvent se rassembler, s’exprimer et agir pour éliminer toutes les formes de violence contre les femmes et les filles. Nous devons rester engagé×e×s en faveur d’un avenir sans violence contre les femmes.
Mireille Jaillet Représentante nationale de l’équité pour les femmes du SEN
En tant que fier membre du Syndicat des employées et employés nationaux (SEN) et l’Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC), je tiens à souligner l’importance de la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales, qui se tiendra du 6 au 12 octobre 2024. Le thème de cette année, « L’accès pour tous : le temps de l’accès, le temps du changement », insiste sur le besoin urgent de soins de santé mentale équitables et met tout le monde – les employeurs, les décideurs politiques, et les communautés – au défi d’agir maintenant.
La Semaine de sensibilisation aux maladies mentales est un moment propice à une réflexion sur les obstacles que doivent surmonter des millions de personnes pour obtenir des soins. Les employé∙e∙s du secteur public, et en particulier les personnes autochtones, sont de façon disproportionnée aux prises avec des problèmes de santé mentale en raison de traumatismes historiques, d’inégalités systémiques, d’environnements de travail exigeants, d’échéanciers serrés et de la transition actuelle vers des milieux de travail postpandémiques. Les travailleuses et les travailleurs sont davantage affecté∙e∙s lorsque l’on ajoute à cela l’inflation et les crises mondiales.
Le Syndicat a pris des mesures proactives en préconisant un milieu de travail flexible, de meilleures ressources en santé mentale et la protection de ses membres contre l’épuisement professionnel et le harcèlement. Malgré une prise de conscience croissante, les obstacles en matière de soins de santé mentale demeurent; de longs temps d’attente, des limites géographiques et des contraintes financières continuent d’entraver l’accès, surtout pour les communautés marginalisées.
Toutefois, parler ne suffit pas. Nous devons trouver des solutions concrètes. L’accès aux soins de santé mentale n’est pas un privilège, c’est un droit. Les travailleuses et travailleurs sont nombreux∙ses à hésiter encore à demander de l’aide, car elles/ils craignent que cela ait des répercussions sur leur carrière. Le Syndicat s’est engagé à changer cette manière de voir, afin de s’assurer que les discussions sur la santé mentale soient normalisées au travail. Les échanges ouverts favorisent la création d’environnements positifs et inclusifs pour tous. Les employeurs doivent prévoir des ressources et des formations pour soutenir les employés ayant des problèmes de santé mentale. Cet effort collectif est essentiel si l’on veut s’assurer que personne ne soit privé d’un accès à des soins, peu importe son statut socioéconomique, sa race, ou sa situation géographique.
La mobilisation continue joue un rôle clé dans la promotion d’une culture en milieu de travail qui met de l’avant la santé mentale. Cette semaine, nous mettons l’accent sur le fait que les soins de santé mentale ne reposent pas uniquement sur la capacité d’une personne à prendre soin d’elle-même – il s’agit plutôt de créer un environnement où les employé∙e∙s se sentent à l’aise de parler de leurs problèmes de santé mentale sans peur d’être jugé∙e∙s.
Les traditions, les pratiques culturelles et les liens communautaires des Autochtones témoignent d’une résilience profondément ancrée. Lorsque l’on parle de santé mentale dans le contexte des relations avec les Autochtones, il est primordial de reconnaître les défis uniques que doivent relever les communautés autochtones. Cela comprend l’élimination des obstacles systémiques et la promotion de l’accès à des soins de santé respectant l’autonomie, l’identité et l’autodétermination des personnes autochtones. Pour renforcer les relations avec les personnes autochtones, il faut non seulement améliorer l’accès aux soins de santé mentale, mais aussi favoriser la confiance et la collaboration dans les initiatives de guérison et de bien-être.
Le moine indien Swami Vivekananda a prononcé les paroles suivantes, qui concordent bien avec la sensibilisation à la maladie mentale : « Parle à toi-même au moins une fois par jour, sinon tu perdrais une occasion de rencontrer une excellente personne dans ce monde. »
La philosophie de Swami Vivekananda propose une approche holistique de la santé mentale où la spiritualité, la conscience de soi, et la positivité sont la base de la résilience mentale et de la paix. Son message est toujours pertinent aujourd’hui; il met en relief l’importance de l’harmonie mentale et spirituelle dans la quête d’une vie épanouie.
Je suis convaincu qu’en faisant connaître la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales, nous pouvons créer un environnement de travail où les discussions sur la santé mentale sont normalisées, où les préjugés se font rares et où les employé∙e∙s ne craignent pas de demander de l’aide. L’accent mis sur l’action et l’inclusion suscitera des changements à long terme de la culture de la santé mentale en milieu de travail, faisant en sorte que les soins de santé mentale deviendront un droit universel, accessible à toutes les travailleuses et à tous les travailleurs, peu importe la race, le statut socioéconomique ou la position géographique. Le renforcement des relations avec les communautés autochtones, en particulier, permettra d’éliminer les obstacles systémiques et de promouvoir la collaboration dans les initiatives de guérison et de bien-être.
Prabir Roy Représentant national de l’équité pour les personnes handicapées du SEN
Notre syndicat milite pour la réconciliation et pour des milieux de travail inclusifs qui reflètent le vécu unique des peuples autochtones.
Dans la foulée de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, l’AFPC est fière de lancer un nouveau cours en ligne, Ensemble sur le chemin de la vérité, qui jette les bases de la quête de vérité. Ce cours vous est destiné et on espère qu’il nous rapprochera de la justice et de la réconciliation.
Le cours s’inspire en partie d’appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation, exigeant des gouvernements et des organisations qu’ils disséminent de l’information sur les séquelles des pensionnats, la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, les lois, les droits et les traités, les relations couronne-Autochtones et d’autres volets de l’histoire autochtone. Les 10 modules du cours traiteront de ces questions vitales.
Participez à la découverte sans plus tarder en vous inscrivant au cours. Le premier module est déjà en ligne et d’autres suivront tous les mois. Vous pouvez suivre chaque module à votre rythme.
Ce cours est plus qu’une ressource d’apprentissage. C’est un pas essentiel vers la reconnaissance et la réparation des injustices infligées aux Autochtones ici même, encore à ce jour.
Chaque pas qu’on fait ensemble nous rapproche d’une société plus juste et plus inclusive. On a tous un rôle à jouer, que ce soit en se renseignant, en suivant des formations, en défendant la cause ou simplement en ouvrant notre cœur.
Ayons l’esprit ouvert, affirmons notre volonté de réconciliation et intégrons nos apprentissages à notre quotidien et à notre travail.
Le 30 septembre marquera la Journée du chandail orange et la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, un nouveau jour férié pour l’ensemble des les fonctionnaires de la fonction publique fédérale. Pour marquer l’occasion, portez un chandail orange à la mémoire des enfants autochtones qui ont été envoyé∙e∙s de force dans les pensionnats et n’en sont jamais revenu∙e∙s, pour honorer les survivant∙e∙s, leurs familles, et leurs communautés.
La Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR) a été établie par les survivant∙e∙s des pensionnats autochtones, l’Assemblée des Premières Nations et les représentant∙e∙s des Inuits ainsi que par celles et ceux qui ont créé et dirigé ces écoles, soit le gouvernement fédéral et les autorités ecclésiastiques. La CVR a aussi reçu les conseils des dix membres du Comité des survivant∙e∙s des pensionnats autochtones, des survivant∙e∙s des pensionnats autochtones de tout le Canada.
Dans son rapport final publié en 2015, la CVR lance 94 appels à l’action et demande aux gouvernements de l’ensemble du Canada de mettre en œuvre un large éventail d’initiatives de réconciliation.
La CVR a aussi organisé des événements d’envergure nationale dans différentes régions du Canada pour faire mieux connaître et comprendre à la population le système des pensionnats autochtones et ses répercussions. De plus, la CVR a appuyé divers événements organisés par des communautés dans le but de répondre à leurs besoins particuliers.
Parmi les quatre-vingt-quatorze appels à l’action de la CVR, seuls quelque uns ont été mis en œuvre. Ces appels à l’action continuent de faire leur chemin, mais trop lentement pour de nombreux survivant∙e∙s, leurs familles et les communautés autochtones. L’un de ces appels à l’action porte sur le système de protection de l’enfance. Les enfants autochtones sont, en moyenne, les plus souvent pris en charge par ce système. Certain∙e∙s pourraient dire que le génocide culturel se poursuit. Les enfants autochtones représentent 53,8 % des enfants de moins de 14 ans placé∙e∙s en famille d’accueil.
Le Secrétariat des survivants a été créé en 2021 pour organiser et soutenir les efforts visant à révéler, documenter et exposer ce qui s’est réellement passé pendant les 140 années d’activité de l’Institut Mohawk, qui, après sa fermeture a été renommé Centre culturel Woodland.
Le Centre préserve et fait connaître la langue, la culture et l’art autochtone et nous raconte l’histoire du peuple Rotinahshonni grâce à des expositions et des programmes novateurs.
La CVR reconnaît la souffrance et les pertes vécues par les survivant∙e∙s et leur offre une plateforme où elles/ils peuvent raconter leurs histoires. La CVR a bouleversé la façon dont les Canadien∙ne∙s perçoivent l’histoire, particulièrement en ce qui a trait au traitement des Autochtones. Toutefois, le mot « réconciliation » demeure controversé parmi les communautés autochtones en raison d’un manque d’action d’accompagnement.
Lenora Maracle Représentante nationale de l’équité pour les Autochtones du SEN
Les femmes et les filles représentent la moitié de la population mondiale, et pourtant, sur le marché du travail, elles gagnent toujours 23 % de moins que les hommes en général. Si elles gagnent moins d’argent, la société s’attend à ce qu’elles passent trois fois plus de temps que leurs congénères masculins à s’occuper des tâches domestiques et de la prestation de soins, lesquelles ne sont pas rémunérées.
Il ne s’agit là que de l’un des obstacles auxquels les femmes sont confrontées. Parmi ces obstacles, on compte la violence et l’exploitation sexuelles, la discrimination au travail et la violence conjugale. Dans le monde, presque la moitié des femmes mariées n’ont pas de pouvoir décisionnel sur leurs droits en matière de sexualité et de procréation. Pourtant, l’égalité des sexes est un droit humain fondamental. Promouvoir ce droit est essentiel en vue de la fondation d’un monde durable, prospère et paisible. Malheureusement, nous ne sommes pas en voie de concrétiser l’égalité entre les sexes d’ici 2030.
Pour garder le progrès sur le droit chemin, les filles doivent continuer de fréquenter l’école et apprendre à se battre pour leurs droits : le droit à un salaire équitable, à l’accès aux services de santé sexuelle et reproductive, le droit de choisir quand et avec qui elles veulent se marier ainsi que leur propre carrière. De cette façon, elles gagneront la confiance nécessaire et auront envie de participer aux décisions économiques et politiques qui affectent tant leur vie que leur collectivité.
En tant que femmes, nous devons nous attaquer aux préjugés et aux associations implicites qui sont à l’origine d’obstacles inconscients et souvent invisibles à l’égalité des chances. Quant aux hommes et aux garçons, ils devront devenir nos alliés dans cette lutte pour l’égalité des sexes. Il faudrait que davantage d’organisations comme HeforShe, qui non seulement, soutiennent le mouvement, mais aussi éduquent et fournissent des occasions ainsi que des espaces pour des discussions importantes, voient le jour.
Les normes sociales discriminatoires et structurelles telles que les agressions sexuelles, la culture du viol, les droits de la personne survivante, l’équité salariale, les standards de beauté et les libertés de reproduction ont obligé une quatrième vague d’activistes à aborder ces sujets. Les campagnes telles que TOUS UNiS pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes, La Marche mondiale des femmes, HeforShe, le Mouvement MeToo et 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le sexe ont eu une énorme répercussion sur les progrès au chapitre de l’égalité des sexes, et ces militant∙e∙s persévérant∙e∙s et courageuses/courageux y sont pour beaucoup.
Yann Boudreau, ancien vice-président régional du SEN pour la région du Québec, a été élu vice-président national pour la santé et la sécurité au travail (SST).
Les principaux objectifs de Yann Boudreau pour ce mandat seront les suivants :
Travailler en collaboration avec l’Exécutif National afin de faire avancer les dossiers du SEN.
Travailler de concert avec le comité de la SST du SEN, afin d’organiser une conférence Santé et Sécurité intéressante et formatrice pour nos membres.
Aider les membres er répondre aux questions qui concernent la SST.
Créer une communauté d’échange et de communication entre les représentants SST de chacune des sections locales.
L’annonce de lundi autorisant le retour dans la municipalité de Jasper de milliers de résident·e·s, dont beaucoup sont des membres du SEN qui travaillent au Parc national Jasper, est la première étape d’un long chemin vers la guérison et le rétablissement. Beaucoup parmi eux verront pour la première fois les dommages et la dévastation subis par leur collectivité. Le parc demeure fermé au public, car la phase initiale du retour est réservée aux résidents.
Nos membres qui travaillent et vivent à Jasper savent que le SEN maintient une communication étroite avec l’employeur depuis le début des feux de forêt. Les principaux sujets abordés ont été la sécurité de nos membres et de leur famille, les dispositions prises pour les soutenir pendant leurs déplacements, la communication et la santé mentale. L’employeur a alloué des ressources pour soutenir les personnes touchées par les feux de forêt.
Une liste des questions fréquemment posées a été distribuée. Veuillez communiquer avec les cadres de votre section locale si vous ne l’avez pas reçue. Elle contient de l’information précieuse sur une foule de sujets :
Renseignements généraux et soutien financier
Soutien du gouvernement de l’Alberta
Soutien de la Croix-Rouge et renseignements
Questions sur les répercussions pour le personnel de l’Agence Parcs Canada et le logement du personnel
Questions sur les déplacements
Questions générales sur les ressources humaines
Questions sur la paye
Questions sur la dotation
Questions sur le soutien en matière de santé
Pour le soutien en matière de santé en particulier, les ressources suivantes sont disponibles :
La ligne d’écoute téléphonique du Programme d’aide aux employés et à leur famille (PAEF) est accessible en tout temps au 1-800-268-7708 (ou ATS 1-800-567-5803). Les agent·e·s du centre d’appels sont informé e·s de la situation dans le Parc national Jasper et peuvent fournir un soutien immédiat. Dans le cas des employé·e·s qui ne sont pas en situation de crise, le centre d’appels prendra les dispositions nécessaires pour qu’une conseillère ou un conseiller communique avec eux dans les cinq jours ouvrables afin de fixer un rendez-vous gratuit pour une consultation en personne ou virtuelle (jusqu’à 12 heures de consultation par problème). Ils peuvent également prendre rendez-vous par clavardage(mot de passe : canada), du lundi au vendredi, de 10 h à 21 h 30 (heure normale des Rocheuses).
Pour celles et ceux qui sont restés à Jasper afin de soutenir les efforts de gestion des incendies en ce moment, sachez qu’il y a deux professionnels de la santé mentale (PSM), qui travaillent en collaboration avec l’équipe du service de Réponse psychosociale et Counselling de Santé Canada, sur place, et avec les responsables du commandement des interventions, pour soutenir les employé·e·s de Parcs Canada. Les employé·e·s qui ne font pas partie des équipes d’incendie et qui veulent rencontrer les PSM ou leur parler doivent communiquer directement avec eux. Les PSM seront en poste par rotation de deux semaines à Hinton et dans les sites voisins jusqu’à la fin de septembre.
Un soutien supplémentaire en santé mentale coordonné avec l’équipe de mieux-être de Parcs Canada peut être demandé à tout moment à l’adresse mieuxetre-wellness@pc.gc.ca ou auprès de l’équipe du service de Réponse psychosociale et Counselling de Santé Canada à l’adresse PRECGeneral.CPRPGeneral@hc-sc.gc.ca.
N’hésitez pas à communiquer avec vos équipes régionale et nationale pour nous signaler tout problème concernant votre emploi, si vous avez été déplacé·e·s, afin que nous puissions en parler à l’employeur le plus tôt possible.